Pékin est sans doute l'une des villes de Chine les plus préoccupées par la congestion et la pollution automobile. Depuis un an le nombre de véhicules vendus dans la capitale chinoise est limité à 20 000 par mois grâce à un octroi réduit des plaques d'immatriculation. Aujourd'hui le comité municipal de Pékin réclame la mise en place d'interdiction et/ou de fortes taxes sur les véhicules les plus polluants.
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Ce n'est pour le moment qu'une demande émanant du comité municipal (consultatif) mais ce dernier est très entendu par le gouvernement municipal de Pékin (exécutif) qui pourrait donc bien suivre son avis. Face à la congestion du trafic et à la pollution croissante de l'air pékinois, l'attribution par une loterie des 20 000 plaques mensuelles ne suffit visiblement pas. L'avis du comité est d'interdire purement et simplement la ville aux véhicules les plus émetteurs. Autant dire que Pékin pourrait instaurer une ZAPA.
Le comité va d'ailleurs plus loin puisqu'il propose la mise en place d'une forte taxe qui serait proportionnelle aux émissions des véhicules. On a ici affaire à une sorte de taxe carboneque l'Europe cherche vainement à généraliser. Ces mesures auraient pour but de réduire la circulation et d'encourager les véhicules non émetteurs ou plus propres que sont les hybrides ou les électriques. Ce qui va dans le sens des annonces du gouvernement chinois de la mi-avril.
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Pour résumer
Pékin est sans doute l'une des villes de Chine les plus préoccupées par la congestion et la pollution automobile. Depuis un an le nombre de véhicules vendus dans la capitale chinoise est limité à 20 000 par mois grâce à un octroi réduit des plaques d'immatriculation. Aujourd'hui le comité municipal de Pékin réclame la mise en place d'interdiction et/ou de fortes taxes sur les véhicules les plus polluants.