Dévoilée il y a quelques mois, la Citroën DS3 avait séduit notre essayeur lors du premier galop d’essai qu’il avait eu la chance de faire derrière le volant. Mais voilà, si la voiture l’avait tant bluffé, c’est que Citroën n’avait proposé, à l’époque, que la version haut de gamme «SportChic» animée par le pétillant 1.6 THP de 156 chevaux. Or, vous désirez peut-être acquérir une DS3 moins onéreuse, mais hésitez encore entre la version d’appel essence équipée du 1.4 VTI 95 dans sa finition Chic et l’entrée de gamme diesel, incarné par la 1.6 HDI SoChic. Nous allons donc tenter de vous guider dans votre prise de décision !
On ne vous refera pas une présentation complète de l’auto, rassurez-vous, puisqu’elle vous a déjà été détaillée en long et en large dans l’essai de Cédric. Mais on notera en revanche que la version 1.4 VTI est la seule livrable en finition basique Chic, et donc la seule à ne pas être dotée des rangées de LED verticales à chaque extrémité du bouclier avant. Une signature lumineuse qui rend la DS3 reconnaissable entre mille, mais, pourtant, personnellement, je la préfère sans. Question de goût.
La version 1.6 HDI 90 est, elle, uniquement livrable en finition SoChic de milieu de gamme, dotée cette fois de ces fameuses LED donc.
Autre différence «marketing» : la version Chic ne peut être dotée des coques de rétroviseurs et des protections latérales argentées.
A bord, la différence entre les deux versions se fait au niveau du bandeau qui parcourt le meuble de bord sur sa largeur : simplement gris dans la VTI, il se voit peint de couleur bleu ciel assorti à la teinte du toit et des rétroviseurs sur le HDI. Cette dernière a également droit à une console centrale habillée d’un plastique noir laqué, quand la première «se contente» d’un plastique lisse mate, heureusement plutôt valorisant au toucher. Celle-ci ne peut pas non plus être dotée de l’habillage des sièges en cuir.
L’équipement est quasiment identique dans un cas que dans l’autre, puisqu’il faut d’office piocher dans les packs d’options pour profiter du système audio avec caisson de basse et port USB, du radar de recul, de l’accoudoir central ou de l’éclairage d’ambiance, tous installés sur nos modèles d’essai. La version HDI SoChic est en revanche dotée d’emblée du parfumeur d’ambiance intégré permettant de se dispenser des inesthétiques arbres parfumés pendouillant au rétroviseur ou autres diffuseur à fixer sur la console.
On regrettera cependant le manque de maintien des sièges en courbes, et surtout, la présence de bruits parasites dans la planche de bord et à l’arrière droit sur chacune de nos voitures. Plutôt embêtant, pour des voitures «distinctives» qui ne totalisaient pas 2.500 kilomètres au compteur.
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Pour résumer
Dévoilée il y a quelques mois, premier galop d’essai qu’il avait eu la chance de faire derrière le volant. Mais voilà, si la voiture l’avait tant bluffé, c’est que Citroën n’avait proposé, à l’époque, que la version haut de gamme «SportChic» animée par le pétillant 1.6 THP de 156 chevaux. Or, vous désirez peut-être acquérir une DS3 moins onéreuse, mais hésitez encore entre la version d’appel essence équipée du 1.4 VTI 95 dans sa finition Chic et l’entrée de gamme diesel, incarné par la 1.6 HDI SoChic. Nous allons donc tenter de vous guider dans votre prise de décision !