On le croyait désuet, le moteur V12. Les années turbo lavait rayé du plus haut niveau de la compétition. La Ferrari 412, seule rescapée de lépoque Daytona, se mourrait au milieu dun club restreint que ne fréquentait plus que Jaguar et Lamborghini.
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BMW était lui un fabricant de 6 cylindres en ligne. Tellement associé à cette image que le tonitruant 4 cylindres de la M3 détonnait...La firme rêvait de grandeur, et lorgnait du côté de Stuttgart ou la Classe S pouvait se prévaloir dun V8 et dune forte reconnaissante.
Lindustrie germanique a oublié le V12, qua cela ne tienne. En présentant sa 750i à Genève en mars 1987, le constructeur munichois jette un pavé dans la mare. Dabord parce que la BMW soppose directement à Mercedes sur le terrain du haut de gamme et quelle ose symboliquement les 300 chevaux. Mais surtout parce que la 750 signe le retour en grâce du V12. Plus que ses qualités intrinsèques, les constructeurs jalousent le "coup" de BMW. Les 12 cylindres en V vont alors se multiplier
Mercedes classe S ou Bugatti EB110 en 1991, McLaren F1 et Ferrari 456 GT l'année suivante, tous les constructeurs respectables comptent désormais un V12 dans leur gamme. Même Toyota y viendra sur sa Century, avant qu'il ne soit de plus en plus souvent associé au moteur...Diesel
Et pour BMW, libéré du carcan des 6 cylindres, souvrait la voie dautres expériences mécaniques à 8 ou 10 cylindres
On le croyait désuet, le moteur V12. Les années turbo lavait rayé du plus haut niveau de la compétition. La Ferrari 412, seule rescapée de lépoque Daytona, se mourrait au milieu dun club restreint que ne fréquentait plus que Jaguar et Lamborghini.