Lactualité du plus high tech des circuits automobiles au monde était marquée, le premier juillet dernier, par le départ de son Président Directeur Général. Philippe Gurdjian décidait en effet de mettre un terme à son mandat – un poste quil occupait depuis que les installations avaient été complètement refaites en 2001 – pour mieux sinvestir dans la gestion du nouveau circuit dAbou Dhabi. On connaît désormais lhomme qui lui succédera aux commandes du Paul Ricard High Tech Test Track.
Depuis la réouverture du circuit au début des années 2000 et sa mutation en véritable bijou de technologie, Gérard Neveu occupait la fonction de directeur des pistes. Une fonction pour laquelle il sinvestissait à 100%, comme avaient pu le constater Leblogauto et Auto Moto en octobre dernier lors de lessai de la Lamborghini Gallardo Superleggera.
A 43 ans, Gérard Neveu occupe maintenant le poste de Directeur du Circuit Paul Ricard , et ce depuis le premier septembre 2008.
Il sera intéressant de voir quelle orientation le nouveau patron souhaite donner à un circuit devenu une incontestable référence mondiale en terme dessais privés et de qualité des infrastructures. Serait-il possible dy organiser de véritables courses, comme cest déjà le cas par exemple pour le Challenge Ferrari ?
A lire également : Essai Lamborghini Superleggera sur le Paul Ricard par Leblogauto
« Proton espère reprendre sa première place du marché »
Quel marché? Est-ce le marché Malais?
La première place du marché malais bien évidemment ,car la marque se bat avec Perodua pour la primauté sur ce marché « captif ». La marque est aussi très présente en Thaïlande, en Indonésie, aux Philippines . Elle est assez représentée en Grande Bretagne où ses autos sont vendues et assez répandues, notamment grâce à leur prix, leur fiabilité et une gamme renouvelée, complète et assez performante ( à comparer avec les Chevrolet « coréennes »). La marque fut présente en France ,j’en ai même vendu, au travers du groupe Inchcape durant moins de 3 années,et ce dès 1994. Mais ce fut un vrai bide car à l’époque les Proton n’étaient que des vieilles Mitsu rebadgées et hors d’age.
Si la marque revenait sur les marchés européens continentaux , je pense que la situation serait différente car la marque fait aujourd’hui du low cost qui ne fait pas trop low cost…..