Pour ne pas paraphraser lanalyse dElisabeth Studer sur les ventes automobiles de septembre, une autre vision, moins financière, est possible.
Certes les chiffres sont implacables, une baisse de 13,3% cest rude. En 2005, année sans mondial parisien, les ventes avaient augmenté de 7,6%, en 2004, la baisse navait été que de 0,7%. « Nous avons toujours dit que le Mondial en lui-même navait pas deffet. Ce qui a de leffet cest ce quon présente au Mondial : cest une vitrine, ce nest pas un outil de vente » déclarait Manuel Gomez du CCFA en 2004. Alors il faut chercher ailleurs les raisons de cette baisse.
Une fois de plus, les grands perdants sont Renault-Nissan, Ford, GM, Peugeot. La multiplication de communiqués autour dalliances, de mariages ou de départs nont pas que du bon. Et si les acheteurs dautomobiles aimaient entendre parler voiture