En ces jours de morosité ambiante dans le milieu de la F1, il est bon de se rappeler qu’il fût un temps ou ce sport était l’apanage de veritables héros qui courraient pour des garagistes (comme les appelait si bien Enzo Ferrari) dans un esprit que le business a quasiment tué. C’était l’époque ou Fangio racontait à qui voulait bien l’écouter que Stirling Moss était plus rapide que lui, l’époque ou on pouvait faire l’intérieur d’un Graham Hill ou d’un Jim Clark à grand coups de 4 wheel drift sans craindre de se faire sortir par son concurrent. La sécurité n’existait pas et les combinaisons étaient quasiment vierges de tout sponsor, le sport n’était pas encore dirigé par des avocats.
Beaucoup d’entres eux y ont laissé leur vie mais restent dans la légende. Marc Ostermann découvert par le biais de Mémoire des stands leur rend hommage avec un talent que je vous laisse apprécier .