En effet, le cockpit n’est pas des plus valorisants. On ne peut pas dire que la finition soit mauvaise, bien au contraire. Les assemblages sont des plus précis et les plastiques qui composent la planche de bord, bien que durs, respirent la qualité. Simplement, le design manque d’élégance et les inserts décoratifs semblent issus d’une chaîne hi-fi bas de gamme.
Pour le reste, l’Outback n’aligne que les bons points ou presque. L’ergonomie générale est bonne, avec notamment des commandes au volant faciles d’utilisation.
Le plus impressionnant reste toutefois l’espace intérieur, bien plus important que chez ses concurrentes. L’habitabilité est digne de la catégorie supérieure, notamment à l’arrière où les passagers disposent d’un espace royal. En plus, cela ne se fait pas au détriment du coffre, gigantesque et qui propose en accessoire tout un choix d’éléments facilitant l’organisation du chargement. Bref, l’Outback tire le meilleur parti possible de ses dimensions extérieures. Voilà l’explication de son volume extérieur…
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