De grands panneaux ont été installés pour prévenir les indélicats : « Stationnement et arrêts strictement interdits – Vidéoverbalisation systématique » succèdent aux « Zone contrôlée par vidéoverbalisation »… Et pourtant, il reste une ambiance doucement anarchique, surtout devant Orly Sud.
Avec ces panneaux, des caméras vidéo scrutent les abords des aérogares. Face à des écrans, un policier joue aux réalisateurs comme dans un car régie. Si un automobiliste s’arrête dans une zone non autorisée, bloquant la circulation, plusieurs prises de vues sont enregistrées. Plaque d’immatriculation, localisation dans la zone interdite, les fichiers sont sauvés avant l’établissement du PV électronique qui transite par le centre de Rennes. Et c’est un minimum de 35 euros qui sera demandé par voie postale.
« Cette vidéoverbalisation a été mise en œuvre pour faire en sorte que la circulation soit fluidifiée aux abords des aérogares », affirme un commissaire dans Le Parisien. D’autant que de nouvelles aires de parking, gratuites durant 20 minutes, avaient été préalablement créées. L’objectif est d’éviter des scènes de chaos, allant jusqu’à bloquer la Nationale 7 passant sous l’aéroport.
Et aussi : Des places de stationnement réservées aux hommes !
Source : Le Parisien