Ce résultat « positif » est dû à un « bon » mois de décembre avec « seulement » 295 décès sur les routes.
Jusqu’en décembre, l’année 2009 avait été plus mortelle que 2008. Selon Chantal Perrichon, présidente de la Ligue contre la violence routière citée par leparisien.fr, la France a « pris deux ans et demi de retard » en l’absence de mesures phares depuis l’installation des radars automatiques. Mais les conducteurs sont également ciblés avec un relâchement coupable.
Le nombre de blessés affiche une baisse de 10% alors que le nombre d’accidents diminue de 7%.
En 2007, Nicolas Sarkozy avait fixé l’objectif de descendre sous 3 000 morts par an dès 2012.
A titre de comparaison, l’Argentine reste le pays qui compte le plus de décès sur ses routes avec environ 11 000 morts par an.
A retrouver : Un « moins bien » dans les chiffres de la sécurité routière