On attendait avec impatience le verdict de Michelin, à la veille d'un Grand Prix de France qui pourrait s'avérer houleux, vu la tournure que prennent les choses entre la FIA et les écuries équipées de leurs pneumatiques. Michelin fait encore une fois face à ses responsabilités et avoue ses erreurs dans un communiqué de Pierre Dupasquier:
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On attendait avec impatience le verdict de Michelin, à la veille d'un Grand Prix de France qui pourrait s'avérer houleux, vu la tournure que prennent les choses entre la FIA et les écuries équipées de leurs pneumatiques. Michelin fait encore une fois face à ses responsabilités et avoue ses erreurs dans un communiqué de Pierre Dupasquier:
Les pneus n'avaient pas de défaut intrinsèque mais ils étaient insuffisamment adaptés pour les conditions de course extrêmes rencontrées cette année dans le virage 13 du circuit. Les six voitures équipées par le Japonais Bridgestone avaient pris le départ et disputé la course sans difficulté. Le problème était que nous avons sous-évalué les contraintes extrêmes subies par les pneumatiques dans le virage 13 avec les caractéristiques spécifiques de l'année 2005.
Michelin n'a jamais eu droit de tester ses pneumatiques à Indianapolis et a du se rabattre sur des simulation qui n'ont pas anticipé les charges supportées par le pneu arrière gauche dans le banking. Le pneu ne souffrait d'aucune anomalie particulière.
On attendait avec impatience le verdict de Michelin, à la veille d'un Grand Prix de France qui pourrait s'avérer houleux, vu la tournure que prennent les choses entre la FIA et les écuries équipées de leurs pneumatiques. Michelin fait encore une fois face à ses responsabilités et avoue ses erreurs dans un communiqué de Pierre Dupasquier: