Le Blog Auto

Suzuki vient de présenter à Tokyo la nouvelle génération de l’Escudo, plus connu internationalement sous le nom de Vitara. La marque de Hamamatsu (c’est pas très loin de chez moi), cador incontesté des petites voitures "Kei" au Japon, et renommée pour ses petits 4×4, monte en puissance. Après la nouvelle Swift l’année dernière, voilà une refonte complète du 4×4 vedette de Suzuki, qui devient plus grand  (4,4 m) que son prédécesseur et plus "SUV". La gamme japonaise comprend 2 motorisations, 2 litres 145 ch et 2,7 V6 184 ch. Nulle doute qu’un diesel viendra s’ajouter à cette offre pour l’Europe. Le prix de vente au Japon va de 1.942.500 à 2.520.000 yens (14400 à 18650 euros). Il va falloir s’habituer à voir de plus en plus de Suzuki, que ce soit sous leur propre marque ou bien sous licence via des accords extensifs avec GM (par exemple, l’Opel Agila, c’est une Suzuki). Sans compter le fameux moteur moto Hayabusa, qui propulse de plus en plus de petites bombes. Il est également question d’une implication du constructeur en WRC grande section très bientôt, après avoir raflé les lauriers du Junior WRC depuis quelques temps. Petite auto deviendra grande
Pour l’anecdote, Suzuki est le nom de famille le plus générique qui soit au Japon. Les automobiles Dupont, en quelque sorte.

Lire la suite

Lire la suite

Un bout de patrimoine de Jaguar est  à vendre chez Christies le mois prochain et devrait atteindre les 2 millions d’euros. La Type C de 1952 qui a appartenu à PHer McNab aussi connue sous le nom de XK120C fut construite à 53 exemplaires et gagna Le Mans à 2 reprises en 1951 et 1953. Un des maîtres de l’époque, Sir Stirling Moss en possède le châssis N°39  et la considère comme une de ses voitures préférées. A moins d’être un heureux gagnant du loto, cette voiture restera un phantasme à jamais irréalisable, à moins que vous n’alliez faire un tour du coté de chez Racing Green Cars, ils ne vous feront pas une originale mais une très belle copie vous attend, à un prix plus réaliste.

En direct de Seoul, le constructeur de corée du sud, Ssang Yong annonce le lancement de son nouveau SUV/4×4 le Musso en Juin.

Le  Grand Prix de l’âge d’or a définitivement quitté le regretté circuit de Linas Montlhery considéré comme vétuste malgré les nombreux efforts de passionnés pour lutter contre sa disparition.

Les qualifications pour Indy 500 ont été marquées ce week-end par la pluie, une paire d’accidents violents mais heureusement sans conséquences graves, et un joli regard qui n’a pas oublié d’être (très) rapide.
Si la pôle a été enlevée sans surprise mais avec un jour de retard pour cause de pluie par le champion Indycar en titre Tony Kanaan, l’événement a été créé par Danica Patrick, qui non contente d’être meilleure rookie, place sa Panoz/Honda en seconde ligne. La jeune femme (23 ans) fait cette année une entrée fracassante en Indycar, ayant déjà assuré une première ligne a Motegi plus tôt dans la saison. Signe d’une future grande, elle a accueilli la performance en déclarant qu’elle était un peu déçue et pensait pouvoir faire mieux. Ben voyons. Comme Kimi tirant la tronche sur son premier podium
L’auteur du second temps Sam Hornish Jr a été victime vendredi d’un back flip suivi suivi d’une longue glissade sur l’arceau, qui l’a laissé endolori mais pas démonté.
Sébastien Bourdais, qui débute cette année à Indianapolis, n’a été en mesure de réaliser que le 15eme temps, mais il a indiqué avoir confiance dans la voiture en conditions de course. Entre temps, il enchaînera avec la course de Champ Car de Monterrey la semaine prochaine.
Rendez-vous pour la 89ème édition de cette course mythique et très particulière le 29 mai prochain.