La compromission du jour : The Anomaly
Dany Bahar voulait (re)donner une image à la fois glamour et mondiale à Lotus. Le cinéma hollywoodien était un vecteur idéal. D'où It's a lot, voilà The Anomaly.
Dany Bahar voulait (re)donner une image à la fois glamour et mondiale à Lotus. Le cinéma hollywoodien était un vecteur idéal. D'où It's a lot, voilà The Anomaly.
Dany Bahar voulait (re)donner une image à la fois glamour et mondiale à Lotus. Le cinéma hollywoodien était un vecteur idéal. D'où des apparitions d'Evora ici et là. La nouvelle équipe n'a plus les budgets pour des strapontins à Hollywood. Alors désormais, Lotus se contente de productions britannique. Après It's a lot, voilà The Anomaly.
Le point commun avec It's a lot, c'est que l'acteur principal s'est créé un "véhicule". Noel Clarke est donc au scénario et devant la caméra. On l'avait notamment vu dans Doctor Who.
Dans The anomaly, il joue Ryan, un ancien soldat qui se retrouve projeté dans des endroits et des lieux différents. Chaque séquence dure 9 minutes. Quelqu'un contrôle où il va et ce qu'il fait. Comme souvent dans ce type d'actionner, Ryan se rebelle et se retrouve seul contre tous.
Le film sortira cet été. A priori, il ne traversera pas la Manche.
L'action se déroule dans un futur proche. Les policiers roulent en Evora (après tout, il y a déjà des Evora de police.) Un placement-produit plutôt original de la part du constructeur. Mais pas sûr qu'en devenant le sponsor attitré des films de genre britannique, Lotus gagne en notoriété. Du reste, dans The anomaly, on y voit aussi une 12C. Comme McLaren n'est pas partenaire, la voiture est sale.
Source :
Lotus
Dany Bahar voulait (re)donner une image à la fois glamour et mondiale à Lotus. Le cinéma hollywoodien était un vecteur idéal. D'où It's a lot, voilà The Anomaly.
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