Désormais, il ne faut plus parler de "initiateur de The Cal, en 1964) demande à Bert Stern de créer un calendrier "people". En parallèle, la maison-mère veut reprendre la main. Helmut Newton se voit confier un travail sur le thème de l'automobile (jusqu'ici inexploré par les Anglais.) Finalement, le projet de Stern est privilégié. Newton se retire "suite à des ennuis de santé", laissant un unique ouvrage, conservé aux archives.
Désormais, il ne faut plus parler de "calendrier Pirelli", mais de "The Cal". Pour les 50 ans de The Cal, le manufacturier multiplie les évènements... Qui sont autant de fausses pistes. Après le shooting "comme ça", Pirelli s'offre une soirée de gala, à Milan, pour présenter... Le calendrier de 1986.En fait, en 1986, il y a eu deux calendriers. Pirelli UK (initiateur de The Cal, en 1964) demande à Bert Stern de créer un calendrier "people". En parallèle, la maison-mère veut reprendre la main. Helmut Newton se voit confier un travail sur le thème de l'automobile (jusqu'ici inexploré par les Anglais.) Finalement, le projet de Stern est privilégié. Newton se retire "suite à des ennuis de santé", laissant un unique ouvrage, conservé aux archives.
C'est donc ce "deuxième calendrier 1986", jusqu'ici inédit, qui est présenté. Effectivement, il est beaucoup plus classique que celui de Stern. Ce dernier effectue des clichés couleurs, très flashys, très "1986".
Newton, lui, privilégie un style naturaliste, en noir et blanc. Ses modèles ont un côté pin-up des fifties, avec des scènes de la vie (presque) quotidienne sous un angle coquin. La présence de pneus y ajoute un côté publicitaire. On remarque la présence d'une Alfa 90, d'une Lamborghini Countach et d'une Ligier/Renault "Candy".
A l'époque, effectivement, la travail de Newton est daté. Or, The Cal a pour vocation de coller aux tendances (voir de les devancer.) En revanche, il a beaucoup mieux vieilli.
Source :
Pirelli
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Désormais, il ne faut plus parler de "initiateur de The Cal, en 1964) demande à Bert Stern de créer un calendrier "people". En parallèle, la maison-mère veut reprendre la main. Helmut Newton se voit confier un travail sur le thème de l'automobile (jusqu'ici inexploré par les Anglais.) Finalement, le projet de Stern est privilégié. Newton se retire "suite à des ennuis de santé", laissant un unique ouvrage, conservé aux archives.
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