"Monaco, 28° à l'ombre. C'est fou, c'est trop" disait Jean-François Maurice. Le weekend dernier, la Formule 1 était en Principauté pour son grand-prix le plus glamour de la saison. Michaël Dautremont nous fait partager sa vision de l'épreuve.

Débutons par les portraits. La foule est toujours nombreuse à Monaco et les personnalités invitées aussi (dont certaines nous sont totalement inconnues). Ce weekend, le grand absent était évidemment Niki Lauda. Mais, il était présente en pensée et à travers des signes comme sa casquette rouge indéboulonnable, ou des casques hommage, ou même encore des "Danke Niki" un peu partout. Chez Mercedes, le HALO est passé au rouge en souvenir de son Président non exécutif.

La visite des paddocks est toujours une occasion unique de voir le ballet des mécaniciens en train de préparer les monstres de technologie dans la plus grande "agitation paisible". Ou bien, comme ici, de répéter encore et encore les arrêts au stand. En course, Red Bull réussira l'arrêt presque parfait pour aider Max Verstappen à passer devant Bottas. De peu, cela lui vaudra 5 secondes de pénalité et une descente d'un podium pourtant mérité.

Les rues de Monaco sont étroites, les F1 très larges. Le weekend dernier, cela a frotté un peu partout. Le plus impressionnant est d'être vraiment très proche des voitures, séparés bien souvent d'avec elles que par le seul rail avec lequel il faut jouer pour trouver des angles intéressants/inédits. A certains endroits (nouvelle chicane par exemple, cf dernière image de la galerie), il n'y a même pas de rail et les voitures vous "frôlent" à 3 mètres.

Depuis plusieurs années, la vue au virage du portier est bouchée par un mur. En prenant de la hauteur, on comprend que Monaco continue de s'étendre. L'an prochain, en plus du GP, il y aura le GP Historique. Vivement 2020 !

Merci à Michaël Dautremont pour le partage d'une sélection de photos du grand-prix de Monaco 2019. Vous pouvez retrouver toutes ses photos sur sa page facebook, ou sur son site michaeldautremont.lu.