Plus d'une vingtaine de constructeurs de camions, bus et autos sont dans le collimateur des autorités chinoises. Pékin qui pousse les acteurs locaux et marques implantées dans le large domaine de la mobilité alternative n'entend pas qu'on abuse d'aides financières.
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Pour ne pas avoir respecté leurs engagements dans le domaine de la mobilité alternative et dans le cahier des charges pour produire des véhicules plus vertueux, Pékin sanctionne.
Ce sont ainsi plus d'une vingtaine de constructeurs de bus, camions et autos qui sont épinglés par les autorités chinoises. En résumé ? Ces différents acteurs auraient abusé de subventions financières sans respecter les plans fixés entre les parties.
Pour mémoire le plan total, étalé jusqu'en 2021, porte sur une somme avoisinant les 4,5 milliards de dollars.
Plusieurs marques chinoises sont visées comme BYD ou Geely et des marques étrangères comme Nissan ou Hyundai. Les sanctions vont plus loin que des pénalités financières (montant pouvant aller jusqu'à la moitié des aides perçues) puisque selon des médias chinois certains constructeurs d'autobus se sont vus retirer leur licence (provisoirement ?). Le nom d'un est cité : Suzhou Gemsea Coach Manufacturing.
Ces sanctions infligées par le ministère chinois des finances n'ont pas encore entraîné de réponses chez Nissan ou Hyundai, deux des marques étrangères citées.
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Pour résumer
Plus d'une vingtaine de constructeurs de camions, bus et autos sont dans le collimateur des autorités chinoises. Pékin qui pousse les acteurs locaux et marques implantées dans le large domaine de la mobilité alternative n'entend pas qu'on abuse d'aides financières.