Laissons tomber un instant manettes, volants et consoles, et redevenons désespérément analogiques pour quelques heures, le temps de manier les ciseaux et de se retrouver avec quatre superbes monoplaces imaginaires mais évocatrices des Grands Prix d'il y a longtemps, très longtemps sur son bureau. Pas de sponsors, pas d'ailerons ni de zigouigouis aérodynamiques en carbone à répandre dans les rues des Principautés en jouant au billard entre les glissières, juste un assortiments de fusées de métal (en papier) à quatre roues aux couleurs nationales avec un gros numéro et un pilote a la mâchoire carrée sous son casque de toile.
Zapping Le Blogauto Essai Jeep Avenger de 156 chevaux
Laissons tomber un instant manettes, volants et consoles, et redevenons désespérément analogiques pour quelques heures, le temps de manier les ciseaux et de se retrouver avec quatre superbes monoplaces imaginaires mais évocatrices des Grands Prix d'il y a longtemps, très longtemps sur son bureau. Pas de sponsors, pas d'ailerons ni de zigouigouis aérodynamiques en carbone à répandre dans les rues des Principautés en jouant au billard entre les glissières, juste un assortiments de fusées de métal (en papier) à quatre roues aux couleurs nationales avec un gros numéro et un pilote a la mâchoire carrée sous son casque de toile.
Ces autos, qui si on se fie au titre de la planche furent éditées probablement dans les années 1930 par les Editions du Soleil à Paris (c'est écrit dessus), font partie d'une merveilleuse série de planches à découper anciennes qui comporte des centaines d'autres objets de toutes sortes rassemblés sur Flickr où l'on peut télécharger nos quatre bolides et le reste dans des résolutions confortables.
Et si jamais vous devenez accros aux autos de papier, le vaste internet se fera un plaisir de vous aider à vous noyer dans votre vice, comme le blog auto l'a déjà relaté ici.
Laissons tomber un instant manettes, volants et consoles, et redevenons désespérément analogiques pour quelques heures, le temps de manier les ciseaux et de se retrouver avec quatre superbes monoplaces imaginaires mais évocatrices des Grands Prix d'il y a longtemps, très longtemps sur son bureau. Pas de sponsors, pas d'ailerons ni de zigouigouis aérodynamiques en carbone à répandre dans les rues des Principautés en jouant au billard entre les glissières, juste un assortiments de fusées de métal (en papier) à quatre roues aux couleurs nationales avec un gros numéro et un pilote a la mâchoire carrée sous son casque de toile.