James Bond et Aston Martin cest une histoire damour consommée depuis Golfinger et la DB5. Au cinéma tout du moins ! En effet, le texte originel de Ian Fleming prête à lagent 007 une Jaguar. A titre personnel, ce sont les Bentley qui ont la préférence de lagent secret.
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James Bond et Aston Martin cest une histoire damour consommée depuis Golfinger et la DB5. Au cinéma tout du moins ! En effet, le texte originel de Ian Fleming prête à lagent 007 une Jaguar. A titre personnel, ce sont les Bentley qui ont la préférence de lagent secret.
Le 28 mai signera le centenaire de la naissance de Ian Fleming. A cette date sortira un nouveau James Bond, Devil May Care, écrit par Sebastian Faulks. La marque au B ailé a donc sauté sur loccasion pour proposer une édition spéciale, limitée à 300 exemplaires et numérotée, de ce nouveau roman.
Bentley na pas fait les choses à moitié en mettant deux designers sur le coup, Dirk van Braeckel et Kate Whatmore. Le cuir de la reliure provient du même fournisseur que pour les voitures de la marque et les coutures organisées en losange rappellent la sellerie. Détail amusant : à louverture de la page 007, une petite alcôve laisse découvrir une miniature au 1/43°, en étain brossé, représentant une type R longuement décrite dans Thunderball. Un modèle qui na jamais réellement existé et donc basé sur les spécifications de lauteur. Cette petite particularité de lédition est une idée de Kate Whatmore, qui voulait un élément de surprise "bondien" à louverture du livre. Celui-ci est édité chez Penguin et peut être commandé sur un site internet spécifique, au prix de 750£.
James Bond et Aston Martin cest une histoire damour consommée depuis Golfinger et la DB5. Au cinéma tout du moins ! En effet, le texte originel de Ian Fleming prête à lagent 007 une Jaguar. A titre personnel, ce sont les Bentley qui ont la préférence de lagent secret.