AB Volvo reconsidère sa position sur Renault Trucks
par La rédaction

AB Volvo reconsidère sa position sur Renault Trucks

Dans un premier temps, n’avait pas l’intention d’accepter le prêt de 500 millions d’euros proposé par le gouvernement français, somme destinée à sa filiale Renault Trucks. Certaines contreparties exigées par le gouvernement français ne convenaient en effet pas aux responsables en charge du dossier. Depuis la donne a évolué. Un revirement serait en train de se produire.

Zapping Le Blogauto Essai de la Volkswagen ID3 (2023)

Dans un premier temps, AB Volvo avait annoncé qu’il n’avait pas l’intention d’accepter le prêt de 500 millions d’euros proposé par le gouvernement français, somme destinée à sa filiale Renault Trucks. Certaines contreparties exigées par le gouvernement français ne convenaient en effet pas aux responsables en charge du dossier. Depuis la donne a évolué. Un revirement serait en train de se produire.

Les contreparties imposées par le gouvernement français en échange du prêt à taux bonifié se résumaient notamment à deux points majeurs : la garantie du maintien des emplois comme celle des sites industriels en France.

AB Volvo réfractaire dans un premier temps à ces "pressions" des autorités politiques aurait tout simplement reconsidéré sa position.

AB Volvo a en effet indiqué que sa première position avait été un peu trop "hâtive" et qu'il réfléchissait désormais à accepter les contreparties en échange du prêt bonifié. Les dirigeants de Renault Trucks et de Volvo AB devraient rencontrer dans la semaine les collaborateurs de Christine Lagarde afin de mettre au point les derniers détails du dossier. A suivre très prochainement pour un dénouement rapide.

A lire également. Volvo : le projet de Sarkozy pour Renault Trucks éconduit.

Source : Le Figaro.

Vous cherchez un véhicule d'occasion ?

Retrouvez des milliers d’annonces sélectionnées pour vous aider à trouver le bon véhicule d’occasion.
Podcast Men Life
 

Pour résumer

Dans un premier temps, n’avait pas l’intention d’accepter le prêt de 500 millions d’euros proposé par le gouvernement français, somme destinée à sa filiale Renault Trucks. Certaines contreparties exigées par le gouvernement français ne convenaient en effet pas aux responsables en charge du dossier. Depuis la donne a évolué. Un revirement serait en train de se produire.

La rédaction
Rédacteur
La rédaction

La quotidienne

Retrouvez tous les soirs une sélection d'articles dans votre boite mail.