STREET RAY: Pour le plaisir
L'époque semble se prêter de nouveau aux réalisations marginales, après une ère glaciaire pas si lointaine en ce domaine, due au blizzard tarifaire du baril.
L'époque semble se prêter de nouveau aux réalisations marginales, après une ère glaciaire pas si lointaine en ce domaine, due au blizzard tarifaire du baril.
L'époque semble se prêter de nouveau aux réalisations marginales, après une ère glaciaire pas si lointaine en ce domaine, due au blizzard tarifaire du baril.
Et, comme une ironie du sort, c'est ce dernier qui sert d'alibi aux illuminés pour nous proposer des réalisations qui se veulent alternatives. En voici une nouvelle preuve avec le teutonique Street-Ray.
L'idée d'un mixage auto-moto en est l'essence. Mais ce Street-Ray vire, quant à lui bien à plat, et en fait de poser haut perché son conducteur, il lui fait raser les paquerettes. Normal, il s'agît bien là d'une monoplace.
La mécanique est basique, un monocylindre de 460 cm3 développant 40 ch pour 350 kgs.
Le but est d'atteindre les 140 km/h. Pas de quoi décorner les boeufs, mais tout ça, dans une ambiance de course, puisque le volant est amovible, comme chez les grandes des paddocks.
Pour finir, le réservoir est de 18 litres et en guise de rétro, ce sont des caméras qui officient.
L'oeuvre à estimée à 30 000 dollars est de H § P Trading à PLANKSTADT, en ALLEMAGNE. A la volonté de Martin PREUSS, un importateur de véhicules chinois deux roues et quads, s'est ajoutée le coup de crayon du designer Luigi COLANI, Allemand lui aussi.
SOURCE: www.street-ray.de
L'époque semble se prêter de nouveau aux réalisations marginales, après une ère glaciaire pas si lointaine en ce domaine, due au blizzard tarifaire du baril.
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