Au début de l'année 1975, tous les observateurs s'accordent à le dire, Ferrari se place en position de favori pour la victoire au championnat du monde. Après une belle montée en puissance de la Scuderia durant la saison 1974 où elle a vu son pilote Regazzoni échouer à seulement 3 points d'Emerson Fittipaldi, 1975 doit être l'année du retour au premier plan après 11 années de disette.
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Au début de l'année 1975, tous les observateurs s'accordent à le dire, Ferrari se place en position de favori pour la victoire au championnat du monde. Après une belle montée en puissance de la Scuderia durant la saison 1974 où elle a vu son pilote Regazzoni échouer à seulement 3 points d'Emerson Fittipaldi, 1975 doit être l'année du retour au premier plan après 11 années de disette.
A la veille du Grand Prix de France disputé sur le circuit Paul Ricard, c'est un pilote Ferrari qui mène assez confortablement au championnat, mais ce n'est pas nécessairement celui que l'on attendait avant le début de la saison. Regazzoni est cette fois largement dominé par son jeune équipier autrichien Niki Lauda qui a déjà remporté trois Grands Prix.
Placé en pole position sur la grille de départ, Lauda colle dès le premier tour près de deux secondes sur son poursuivant immédiat Jody Scheckter qui se bat comme un beau diable au volant d'une Tyrrel chaussée de gommes inadaptées à la canicule ambiente.
Après six tours de course Lauda mène largement et se voit rejoint par son équipier Regazzoni à la seconde place. Le Suisse, mal placé sur la grille a fait un début de course de toute beauté en se débarrassant tour à tour de Carlos Pace, Jochen Mass, James Hunt et enfin Jody Scheckter. Malheureusement pour lui, ses espoirs seront de courte durée puisqu'il est contraint à l'abandon sur bris mécanique juste après son dépassement sur le sud-africain.
Le reste de la course sera marqué par la lente mais inexorable dégringolade de Scheckter au classement en raison de ses pneus agonisants. En revanche, en tête rien ne semble inquiéter Lauda qui remporte le Grand Prix devant Hunt, Mass et Fittipaldi et accentue un peu plus sa colossale avance au championnat.
En fin de saison, celui que l'on surnommera plus tard "l'ordinateur", obtiendra son premier titre mondial à l'âge de 26 ans et Ferrari renouera enfin avec le succès.
Au début de l'année 1975, tous les observateurs s'accordent à le dire, Ferrari se place en position de favori pour la victoire au championnat du monde. Après une belle montée en puissance de la Scuderia durant la saison 1974 où elle a vu son pilote Regazzoni échouer à seulement 3 points d'Emerson Fittipaldi, 1975 doit être l'année du retour au premier plan après 11 années de disette.