par Raphael Caplan

20 ans déjà : l'Opel Omega voiture de l'année

Lignes fluides, flancs lisses, malle arrière haut perchée : l'Opel Omega cédait à la mode de l'aérodynamisme à tout crin qui sévissait dans les années 80. Avec 0,28, elle était même à la pointe, ce qui contribua beaucoup à lui faire décrocher le titre de voiture de l'année, 2 ans après la Kadett.

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Lignes fluides, flancs lisses, malle arrière haut perchée : l'Opel Omega cédait à la mode de l'aérodynamisme à tout crin qui sévissait dans les années 80. Avec 0,28, elle était même à la pointe, ce qui contribua beaucoup à lui faire décrocher le titre de voiture de l'année, 2 ans après la Kadett.

Côté châssis, cette berline de 4,68 m abandonnait l'essieu rigide des Rekord et adoptait de modernes roues indépendantes. Sous le capot, du sûr, avec des 4 cylindres allant de 1.8 à 2.0 (90 à 122 ch), plus un diesel 2.3, 73 ch en atmo, 90 ch en turbo. On trouvait aussi un vieux 6 en ligne de 3 litres de 177 ch, qui devait plus tard passer à 24 soupapes et 204 ch. Mais surtout, en 1990, Lotus s'occupe de la brave berline au blitz et lui fait cracher 376 ch, après avoir fait passer sa cylindrée à 3,6 litres. Résultat, 284 km/h en pointe, 24,6 pour le km départ arrêté.

Les Omega se distinguaient par une bonne fiabilité et un comportement sans histoire, le tout pour un prix bien placé face aux R25, Ford Scorpio et autres Fiat Croma. De sa base devait dériver la Senator en 1987, tandis qu'elle tire sa révérence en 1994.

Notons que les généralistes connaissent déboires sur déboires dans cette catégorie, l'Opel Signum de trouve pas son public, pas plus que la Vel Satis, tandis que Ford ne s'y frotte plus. Seule la Croma II surnage, avec des ventes qui devraient atteindre 45000 ex cette année.

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Lignes fluides, flancs lisses, malle arrière haut perchée : l'Opel Omega cédait à la mode de l'aérodynamisme à tout crin qui sévissait dans les années 80. Avec 0,28, elle était même à la pointe, ce qui contribua beaucoup à lui faire décrocher le titre de voiture de l'année, 2 ans après la Kadett.

Raphael Caplan
Rédacteur
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