Au cours de la période hivernale, le matador Fernando ALONSO a agîté sa cape rouge devant le taureau Valentino ROSSI en jugeant la démarche de ce dernier vis à vis de la F.1. En substance, l'ibère affirmait sa certitude que si on lui donnait les même facilités en moto que celles offertes par FERRARI au champion italien, il serait certainement en mesure de lui en remontrer sur la feuille des temps au tour.
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Au cours de la période hivernale, le matador Fernando ALONSO a agîté sa cape rouge devant le taureau Valentino ROSSI en jugeant la démarche de ce dernier vis à vis de la F.1. En substance, l'ibère affirmait sa certitude que si on lui donnait les même facilités en moto que celles offertes par FERRARI au champion italien, il serait certainement en mesure de lui en remontrer sur la feuille des temps au tour.
ROSSI n'a pas attendu longtemps pour lui répondre en le prenant au mot. Sous forme d'un défi lancé, en bonne et due forme, au nom du noble panache, qu'il serait bien maladroit de ne pas relever sous peine de passer pour un pleutre...
"Vale" propose ainsi à Fernando de se mesurer au travers d'une F.1, d'une WRC, et d'une MotoGp, sur un terrain commun, l'addition des temps accomplis jouant le rôle de juge de paix pour savoir, qui, des deux, est finalement le meilleur.
Voilà une démarche qui a le mérite de dépasser le simple verbiage pour entrer dans le monde du concret, celui de l'impitoyable chronomètre. Voici une réponse digne d'un champion piqué au vif, écho d'une époque chevaleresque semble-t-il bien lointaine.
Le champion du Monde F.1 contre le champion du Monde Moto, la charge émotionnelle de la confrontation proposée est on ne peut plus forte.
Du vrai défi de collégien en mal d'affirmation dont on ne peut qu'être friand dans un contexte que l'on veut aseptisé au plus haut point pour mieux être économiquement parfaitement prévisible.
Au cours de la période hivernale, le matador Fernando ALONSO a agîté sa cape rouge devant le taureau Valentino ROSSI en jugeant la démarche de ce dernier vis à vis de la F.1. En substance, l'ibère affirmait sa certitude que si on lui donnait les même facilités en moto que celles offertes par FERRARI au champion italien, il serait certainement en mesure de lui en remontrer sur la feuille des temps au tour.