Gustav Brunner fut l'un des tout premiers ingénieurs recruté par Toyota lors de l'arrivée en F1. Dès 2001, soit 1 an avant les premiers Grand Prix des japonais, l'autrichien était soustrait aux galères de Minardi qu'il partageait depuis 1998. Sa légende de "faiseur de chassis miracle" naquit avec les quelques résultats miraculeux qu'obtenaient épisodiquement l'écurie de Faenza, le tout renforcé par un parcours en F1 plutôt conséquent. D'ATS en 1978 à Ferrari en 1994, Brunner fut en fait un directeur technique à la réputation un peu plus grande que son palmarès.
Zapping Le Blogauto Essai de la Honda CRV, PHev 2024
Gustav Brunner fut l'un des tout premiers ingénieurs recruté par Toyota lors de l'arrivée en F1. Dès 2001, soit 1 an avant les premiers Grand Prix des japonais, l'autrichien était soustrait aux galères de Minardi qu'il partageait depuis 1998. Sa légende de "faiseur de chassis miracle" naquit avec les quelques résultats miraculeux qu'obtenaient épisodiquement l'écurie de Faenza, le tout renforcé par un parcours en F1 plutôt conséquent. D'ATS en 1978 à Ferrari en 1994, Brunner fut en fait un directeur technique à la réputation un peu plus grande que son palmarès.
Chez Toyota, il prenait la suite d'André de Cortanze qui avait brillament mené le programme Endurance avec les impressionantes GT1 mais dont l'expérience en F1 avait été jugée un peu trop ancienne pour réussir dans la F1 du troisième millénaire. L'arrivée de Mark Gascoyne en 2004 et la montée en régime manifeste de l'écurie depuis, débouchait logiquement sur la mise à l'écart progressive de l'autrichien dont les premières autos furent loin d'occuper les premières lignes du Championnat de F1. La décision de se séparer de lui ne surprendra donc personne.
Gustav Brunner fut l'un des tout premiers ingénieurs recruté par Toyota lors de l'arrivée en F1. Dès 2001, soit 1 an avant les premiers Grand Prix des japonais, l'autrichien était soustrait aux galères de Minardi qu'il partageait depuis 1998. Sa légende de "faiseur de chassis miracle" naquit avec les quelques résultats miraculeux qu'obtenaient épisodiquement l'écurie de Faenza, le tout renforcé par un parcours en F1 plutôt conséquent. D'ATS en 1978 à Ferrari en 1994, Brunner fut en fait un directeur technique à la réputation un peu plus grande que son palmarès.