Confortable et facile à conduire
A bord, Audi a apporté ce qu’il fait de mieux en termes de technologies. Si l’agencement apparaît là aussi plus conventionnel que d’autres intérieurs de vaisseau spatial, ici il ne manque rien pour conjuguer le futur au présent. Dalle tactile hyper connectée, sièges massants, chauffants et ventilés, on se sent en premier lieu bien installé à toutes les places.
Dans cet environnement premium, les plus fins matériaux se marient à merveille avec cette instrumentation interstellaire. Les dizaines de capteurs tout autour de la voiture lui assurent le maximum d’automatisation. On peut même la manœuvrer depuis l’extérieur pour la garer. On en arrive à se demander si nous arriverions à utiliser toutes les fonctions en une vie.
De la haute technologie à bord
Mécaniquement, notre SQ8 e-tron Quattro Sportback n’embarque pas moins de trois moteurs. Puissance totale : 370 kW, soit l’équivalent de 503 chevaux. Pour les alimenter, le géant aux Anneaux compte sur une nouvelle batterie de 106 kWh de capacité. L’autonomie en profite, avec un chiffre officiel de 501 kilomètres. Dans notre réalité sur un parcours n’atteignant pas cette distance, on pouvait imaginer dépasser les 400 kilomètres sans voies rapides.
Le SQ8 e-tron Quattro Sportback distribue sa puissance sans jamais brusquer. Même dans le mode le plus radical, les sensations ne bousculent pas les passagers. Un bon niveau de confort est ainsi toujours bien maintenu. On peut aussi le mener en douceur, et profiter ainsi d’une vie à bord douce et agréable. On l’apprécie d’ailleurs le mieux comme ça.
De légères retouches esthétiques
Pour être précis, il ne s’agit pas d’un SQ8 avec un moteur thermique remplacé par des blocs électriques. En fait, la gamme de SUV e-tron prend désormais l’appellation Q8 e-tron, comprenant une puissante déclinaison SQ8 e-tron Quattro disponible aussi en carrosserie Sportback. Cela s’accompagne d’une mise à jour technique importante.
Côté design, les plus fins observateurs noteront notamment la calandre avant, intégrant un bandeau lumineux dans sa partie supérieure. D’autres détails sont à remarquer, comme les inscriptions sur les montants B et sur le coffre. Avec ce design de SUV finalement classique dans la gamme, il ne se démarque pas tant que ça et se fond plus facilement dans la masse.
Plus de 500 chevaux
Quand la route trace des virages, si l’on ne se repose pas sur les aides à la conduite, on ressent effectivement le poids. Une certaine inertie met alors à mal les gommes. Toutefois la voiture garde une stabilité surprenante au regard de ses plus de 2,5 tonnes. La régénération peut se gérer automatiquement. Toutefois le conducteur a la main dès qu’il le désire en usant des palettes derrière le volant, pour naviguer entre une décélération renforcée ou la roue libre.
Pour accompagner ces bonnes performances, les suspensions adaptative Sport jouent sur les lois d’amortissement avec des réactions instantanées pour renforcer le dynamisme. Dans les faits, cela ne transforme pas le SQ8 en une sportive qui s’ignore, mais le rend plus réactif. Un dispositif de vecteur de couple, lié à la distribution de la puissance sur les trois moteurs, améliore son comportement, afin d’annihiler autant que possible la sensation de lourdeur en courbe.
C’est un très gros SUV, les photos sont trompeuses. Comme toujours chez Audi, qualité de fabrication et ingénierie sont au top du top. Je pense que le TFSI en donne plus (tenue de route, expérience de conduite), une philosophie différente. Le tarif ? A peine le double de la Peugeot 508 hybride, il ya bien pire.
Une voiture que préfèrent les GJ allergiques à l’AMI… Voiture européenne avec composants européens de grande qualités.
Tout le monde valide ! …à un détail près
J’aimerais connaitre l’autonomie en hivers et sur parcourt rapide, ca doit etre beaucoup moins enthousiasment (c’est a dire une autonomie ridicule). Bref un tel prix pour une voiture juste bonne a faire de la ville et non adapté a la ville vue le gabarit, c’est nul. Et dire que c’est ce qui se fait de mieux.