WEC : une équivalence technologique en LMP1
LMP1.
LMP1.
Beaucoup de choses changeront en 2018 pour le WEC. Focalisons maintenant sur l'équivalence technologique mise en place dans la catégorie-reine du LMP1.
N'en doutons pas : la super-saison 2018-2019 sera belle, particulièrement en LMP1. Outres les enjeux purement sportifs - Toyota sera-t-il en mesure d'inscrire de manière consécutive (avec Alonso ?) son nom au palmarès ? - l'équivalence technologique entre Toyota (seul concurrent alignant une LMP1 à moteur hybride - et laquelle !) et les concurrents privés fut sujette à discussions et à débats et le sera encore à coup sûr. Mais quelle sera-t-elle exactement ?
Le réglement sportif établi par la FIA est limpide : "La référence sera le calcul de la moyenne des temps au tour de la voiture la plus rapide de chaque technologie. La moyenne des temps au tour sera calculée sur le nombre de tours correspondant à 20 % de la distance des courses (moyenne des meilleurs tours)". Les prototypes des technologies les plus lentes devront avoir participé à au moins deux courses et avoir été régulièrement classés pour pouvoir bénéficier de l’application de la règle. Le comité endurance aura en outre la possibilité de pratiquer un ajustement de performances quand il le souhaitera. Autant dire qu'une période d'observation(s) interviendra sûrement. Les discussions et les décisions feront la suite.
Sources : FIA, ACO
Photo : WEC
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