IMSA/DPi : les constructeurs favorables à l'hybridation
La catégorie-reine de l'endurance, le LMP1, débute une période de transition dans l'attente de la future réglementation. Les décisions prises outre-Atlantique pourraient avoir un impact sur elle.
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Que va devenir le LMP1 ? La formule GTP semble avoir le vent en poupe car elle permettrait aux constructeurs impliqués de proposer un lien plus évident entre la piste et leur gamme, notamment à travers la promotion de leurs hypercars. Les discussions en cours concernent également l'IMSA dont les DPi rencontrent le succès de l'autre côté de l'Atlantique.
Jusqu'à présent les constructeurs impliqués en DPi semblaient réticients à l'idée d'accepter des motorisations hybrides. Tel ne serait plus le cas. En effet, le site sportscar365.com rapporte que tant les constructeurs, déjà impliqués ou intéressés par une arrivée en DPi, que les instances sont dorénavant favorables à l'introduction de motorisations hybrides.
Accords et désaccords
Toutefois, cette unanimité ne pourrait être que de façade. Des désaccords existent sur la nature de l'hybridation. Les constructeurs comme Acura/Honda (HDP) ou Mazda présents en DPi plébiscitent une solution simple et à moindre coût, au contraire de Ford qui s'interroge sur la possibilité de monter un programme. On voit mal a fortiori une marque comme Toyota baisser son niveau d'exigence. Quant à l'ACO, il continue à plaider pour des motorisations hybrides développant environ 1 000 ch. Soit comme à l'heure actuelle et les puissances grosso modo proposées par les hypercars.
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Pour résumer
La catégorie-reine de l'endurance, le LMP1, débute une période de transition dans l'attente de la future réglementation. Les décisions prises outre-Atlantique pourraient avoir un impact sur elle.