IMSA : les LMP2, DPi et GTLM jouent les prolongations
L'endurance traverse une péiode de transition qui, en quelque sorte, vient d'être confirmée par une décision de l'IMSA.
L'endurance traverse une péiode de transition qui, en quelque sorte, vient d'être confirmée par une décision de l'IMSA.
L'endurance traverse une péiode de transition qui, en quelque sorte, vient d'être confirmée par une décision de l'IMSA.
S'il est une région du monde où l'endurance se porte à merveille en terme d'équilibre entre constructeurs et équipes privées c'est outre-Atlantique dans le championnat IMSA. Depuis l'arrivée des DPi dérivées de LMP2 de nombreux constructeurs ont souscrits au projet (Acura, Cadillac, Mazda, Nissan) alors que d'autres seraient prêts à en rejoindre les rangs.
En Europe et au niveau mondial, avec le WEC, hormis Toyota, dans la catégorie LMP1 les constructeurs ont déserté les grilles. Il faudra attendre le prochain cycle pour voir les choses évoluer. D'ici là Toyota aura espérons-le pour lui inscrit son nom au palmarès des 24 Heures du Mans.
C'est dans ce contexte que l'IMSA vient de prolonger l'homologation des voitures des catagories DPi, LMP2 et GTLM. Les deux premières sont prolongées jusqu'en 2021, la troisième jusqu'au terme de la saison 2019. Cela laisse ainsi la porte ouverte à une harmonisation possible entre ACO et IMSA mais surtout la possibilité aux constructeurs de miser à moyen terme pour un implication en DPi.
Rappelons que cette fin de semaine se disputera la manche d'ouverture du championnat 2018, les 24 Heures de Daytona, avec une pléiade de pilotes de premier plan au départ dont un certain Fernando Alonso.
Source et photo : IMSA
L'endurance traverse une péiode de transition qui, en quelque sorte, vient d'être confirmée par une décision de l'IMSA.
Retrouvez tous les soirs une sélection d'articles dans votre boite mail.