Le paddock de cette 6e édition du Mans Classic avait parfois des airs de 24 Heures du Mans. Grâce aux voitures, oui, qui font revivre la légende de l'endurance, mais aussi grâce au public venu nombreux assister à cette manifestation incontournable dans le domaine des voitures historiques.
Alors que 96 000 spectateurs s’étaient déplacés pour la 5ème édition 2010, ils furent 109 000 à braver une météo capricieuse pour assister aux nombreuses passe d’armes sur la piste au sein des six plateaux en compétition.
Un public de passionnés, courageux... car le ciel, tant vendredi que samedi, a joué avec nos nerfs. Mais il faut avouer que la qualité du spectacle, les animations, et la possibilité offerte au public de d'approcher de près des voitures, ont encore fait recette. Près de 200 Alpine A110 parmi 330 Renault anciennes, les 50 ans de la Lotus Elan, des BMW série M absolument partout, la Cadillac « Le Monstre » conçue en 1950 par Briggs Cunningham en piste, aux cotés de belles américaines dont une Viper GTS-R ex-Oreca Le Mans 1997... le spectacle était partout, tout le temps.
Car Le Mans Classic vit aussi la nuit, sans arrêts. Signalons aussi coté enchères, la vente par Artcurial d'une Peugeot 905 EV 13 de 1991, à 654 700 euros ou encore d'une Ferrari 275 de 1966, estimée 1 300 000 euros, vendue 1 540 200 euros.
Le paddock de cette 6e édition du Mans Classic avait parfois des airs de 24 Heures du Mans. Grâce aux voitures, oui, qui font revivre la légende de l'endurance, mais aussi grâce au public venu nombreux assister à cette manifestation incontournable dans le domaine des voitures historiques.
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