Le projecteur est actuellement braqué sur les efforts des constructeurs qui veulent construire une compacte urbaine électrique viable. Il existe bien quelques sportives, dont la Tesla Roadster, mais les limousines ? Le patron de Rolls Royce, Tom Purves, a déclaré à Car Magazine que ce ne serait pas du tout une mauvaise idée.
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Purves a récemment testé la version électrique de la Mini, puisque les deux marques sont cousines au sein du groupe BMW, et a eu une épiphanie: les points forts de l'électrique que sont le couple et le silence de fonctionnement sont justement ceux qui définissent Rolls Royce. "Vraiment, le seul bruit que l'on entendrait serait le tic tac de l'horloge de bord. Et nous voulons depuis toujours offrir du couple, instantanément et en quantité." Et Purves d'invoquer la fantastique "waftability" (terme intraduisible, réservé à Rolls Royce, qui recouvre la sensation quasi-nautique et surnaturelle de flotter au dessus de la route dont Rolls Royce est si fier) qui en résulterait.
Autre point important, une grande partie de la clientèle de Rolls Royce utilise la voiture essentiellement pour de courts déplacements en ville, milieu de plus en plus hostile aux grandes voitures. La solution électrique résoudrait ce problème (pas de taxe pour rentrer dans Londres !) et on doit bien pouvoir trouver dans les 5,6 mètres de la Phantom la place pour les batteries.
Se dirige-t-on vers la fin du célèbre V12 Rolls Royce ? Pas du tout, assure un un Purves remonté à bloc. Les clients achèteront une Phantom électrique et une Phantom V12, tout simplement.
Le projecteur est actuellement braqué sur les efforts des constructeurs qui veulent construire une compacte urbaine électrique viable. Il existe bien quelques sportives, dont la Tesla Roadster, mais les limousines ? Le patron de Rolls Royce, Tom Purves, a déclaré à Car Magazine que ce ne serait pas du tout une mauvaise idée.