Voici Swatch à nouveau intéressé par l'automobile. Toujours électrique. Le groupe d'horlogerie suisse envisage de devenir un fournisseur de batteries de premier plan. Avec une nouvelle technologie "miracle".
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L'intérêt de Swatch pour l'automobile n'est pas nouveau. On se souvient des efforts de Nicolas Hayek qui ont débouché sur la naissance de Smart. Qui ne convenait finalement pas aux vues originelles. Aujourd'hui, son fils Nick Hayek revient sur ce territoire, et envisage de fournir des batteries pour des voitures électriques.
Belenos Clean Power, filiale de Swatch Group, travaille ainsi sur une nouvelle technologie de batteries. En coopération avec l'Institut Fédéral Suisse de Technologie (Eidgenössische Technische Hochschule Zürich - ETHZ). Les travaux portent sur une batterie utilisant comme composant l'oxyde de vanadium.
A entendre les déclarations de Nick Hayek, cette batterie apparaît comme une solution "miracle". Au nombre de ses avantages : une plus grande durée de vie, une charge plus rapide et une masse réduite. Un accord préliminaire aurait déjà été signé avec le chinois Geely. Toujours selon Nick Hayek, cette activité pourrait représenter $10 à 15 milliards de chiffres d'affaires du groupe en 2020.
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Voici Swatch à nouveau intéressé par l'automobile. Toujours électrique. Le groupe d'horlogerie suisse envisage de devenir un fournisseur de batteries de premier plan. Avec une nouvelle technologie "miracle".