Pékin veut que tous ses taxis passent à l'électrique
Englué dans son brouillard de pollution, Pékin multiplie les mesures pour tenter d'améliorer la situation. Ce sont aujourd'hui les taxis qui sont ciblés. Et priés de passer à l'électrique.
Englué dans son brouillard de pollution, Pékin multiplie les mesures pour tenter d'améliorer la situation. Ce sont aujourd'hui les taxis qui sont ciblés. Et priés de passer à l'électrique.
Symbole de la pollution en Chine, Pékin ne respire plus sous son nuage. Mais la ville voudrait bien désormais devenir un modèle dans le pays en matière de transition énergétique. Et le transport, sans être la cause unique (il y a les fameuses centrales au charbon), est sans doute la plus visible. Pékin a donc déjà multiplié les mesures : incitation à l'achat de véhicules électriques, circulation alternée, interdiction du centre à certains véhicules, limitation du nombre d'immatriculation avec un système de loterie...
Ce sont à présent les 67000 taxis de la ville qui sont dans le collimateur. Une flotte principalement constituée aujourd'hui de Hyundai Elantra ou de Volkswagen Jetta. Et environ une centaine de modèles électriques. Mais les autorités de Pékin ne veulent plus aujourd'hui de modèles essence. Le processus de renouvellement qui devrait s'amorcer cette année prendra néanmoins du temps. Une dizaine d'année sans doute. Et coûtera plus d'un milliard d'euros. Ceci sans compter l'évolution de l'infrastructure qui sera nécessaire, pour assurer des points de recharge d'accès aisé à ces milliers de taxis.
Le constructeur local BAIC (Beijing Auto) qui dispose déjà de plusieurs véhicules électriques dans sa gamme semble en bonne position pour assurer une partie du renouvellement de cette flotte...
Source : Hybridcars.com
Englué dans son brouillard de pollution, Pékin multiplie les mesures pour tenter d'améliorer la situation. Ce sont aujourd'hui les taxis qui sont ciblés. Et priés de passer à l'électrique.
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