Money, money, money : Henrik Fisker contre-attaque
par La rédaction

Money, money, money : Henrik Fisker contre-attaque

Face aux derniers bruits de couloirs ou informations officielles, c'est le patron du petit constructeur américain qui est directement monté au créneau afin de, justement, balayer d'un revers de main toutes les données négatives entourant sa marque. Pour Henrik Fisker, de manière aussi claire que laconique, le constructeur ne rencontre pas de difficultés financières.

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Face aux derniers bruits de couloirs ou informations officielles, c'est le patron du petit constructeur américain qui est directement monté au créneau afin de, justement, balayer d'un revers de main toutes les données négatives entourant sa marque. Pour Henrik Fisker, de manière aussi claire que laconique, le constructeur ne rencontre pas de difficultés financières.

Se confiant dans les colonnes du média britannique Autocar, ou alors peut-être s'agit-il de propos qui lui sont rapportés, le patron de Fisker Automotive a indiqué que la marque était viable financièrement parlant avec cent millions de dollars entrés dans les caisses depuis le mois de décembre dernier ou encore annonçant la livraison de 25 Karma par jour. Et le dirigeant de déclarer que la marque sera(it) financièrement autonome simplement avec les ventes de la Karma.

Donnée surtout très intéressante est celle à mettre en parallèle avec la suite du prêt que le département américain à l'énergie (le DOE) n'a pas encore débloquer. "Nous sommes toujours en négociation avec le DOE, mais nous n'avons pas besoin de son argent pour financer le projet entourant la Nina. Nous avons d'autres options et nous ne sommes pas pressés", s'est ainsi exprimé Henrik Fisker.

Une manière de reconnaître indirectement aussi n'avoir pas atteint les objectifs quant aux ventes de la Karma ? Une façon de calmer le jeu jusqu'aux futures présidentielles américaines (en novembre) alors que républicains et démocrates s'opposent sur ce prêt ? Quid des rumeurs quant aux problèmes d'acquittement des droits de douanes ? Quid alors de la reprise du développement du projet industriel pour la production de la Nina ? Une déclaration laissant augurer l'arrivée de nouveaux investisseurs privés ? Pour mémoire, le prêt accordé par le DOE porte encore sur quelques 335 millions de dollars  (sur le prêt global de 529 millions de dollars).

A lire également. Fisker : courant très alternatif, 239 Fisker au rappel, Fisker interrompt l’installation de son usine américaine et Fisker : mauvais Karma.

Source : Autocar.

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Face aux derniers bruits de couloirs ou informations officielles, c'est le patron du petit constructeur américain qui est directement monté au créneau afin de, justement, balayer d'un revers de main toutes les données négatives entourant sa marque. Pour Henrik Fisker, de manière aussi claire que laconique, le constructeur ne rencontre pas de difficultés financières.

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