Lors du dernier salon de Genève, il était à la limite de parader dans les parages de la Heuliez Mia, posant allègrement sous les flashs des photographes et se posant alors comme le vrai chevalier blanc. Une fois le salon suisse fermé, la période "strass et paillettes" terminée, Alphan Manas entrait véritablement dans le dossier de la reprise de l'équipementier/producteur des Deux-Sèvres. Malgré les déclarations du côté du ministère de l’industrie via Christian Estrosi ou de la région Poitou-Charentes par l’intermédiaire de Ségolène Royal, la proposition d'Alphan Manas se révélait bien maigre avec l'ambition de racheter 15 % du capital. Retour sur terre. Dur. Depuis Alphan Manas à la tête du groupe Brightwell se faisait discret. Plus que se faire discret désormais : il disparaît.
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Lors du dernier salon de Genève, il était à la limite de parader dans les parages de la Heuliez Mia, posant allègrement sous les flashs des photographes et se posant alors comme le vrai chevalier blanc. Une fois le salon suisse fermé, la période "strass et paillettes" terminée, Alphan Manas entrait véritablement dans le dossier de la reprise de l'équipementier/producteur des Deux-Sèvres. Malgré les déclarations du côté du ministère de l’industrie via Christian Estrosi ou de la région Poitou-Charentes par l’intermédiaire de Ségolène Royal, la proposition d'Alphan Manas se révélait bien maigre avec l'ambition de racheter 15 % du capital. Retour sur terre. Dur. Depuis Alphan Manas à la tête du groupe Brightwell se faisait discret. Plus que se faire discret désormais : il disparaît.
"Nous n'avons pas soumis de nouvelle offre ni renouvelé notre offre qui avait expiré", a confirmé Alphan Manas dans un communiqué de presse. Toujours en piste pour partiellement entrer au capital d'Heuliez, le Turc met les voiles.
L'homme indique avoir fait tout son possible dans ce dossier (enfin tout son possible à la hauteur de ses ambitions) tout en précisant que le développement de la Mia nécessiterait bien plus d'argent que les montants prévus.
"L'aspect le plus attractif de la Mia était l'opportunité d'en faire un des premiers modèles sur le marché des véhicules électriques. Il a cependant fallu constater que le délai d'arrivée sur le marché serait repoussé en raison de l'arrivée présumée de nouveaux repreneurs potentiels", poursuit-il sans oublier de dire que sans repreneurs complets, la Mia ne verra jamais le jour (si elle le voit un jour justement...). Alphan Manas/Brightwell : un vrai/faux repreneur en moins.
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Pour résumer
Lors du dernier salon de Genève, il était à la limite de parader dans les parages de la Heuliez Mia, posant allègrement sous les flashs des photographes et se posant alors comme le vrai chevalier blanc. Une fois le salon suisse fermé, la période "strass et paillettes" terminée, Alphan Manas entrait véritablement dans le dossier de la reprise de l'équipementier/producteur des Deux-Sèvres. Malgré les déclarations du côté du ministère de l’industrie via Christian Estrosi ou de la région Poitou-Charentes par l’intermédiaire de Ségolène Royal, la proposition d'Alphan Manas se révélait bien maigre avec l'ambition de racheter 15 % du capital. Retour sur terre. Dur. Depuis Alphan Manas à la tête du groupe Brightwell se faisait discret. Plus que se faire discret désormais : il disparaît.