En effet, grâce à l’amélioration du système de combustion, et au renfort de filtres à particules, les moteurs à explosion modernes ont drastiquement baissé leurs émissions de particules fines. Désormais, les freins, ou les pneus pourraient être les premiers à être pointés du doigt.
Sources hors échappement : « leader » d’émissions de particules dès 2035
La quantité de particules rejetées via les gaz d’échappement étant appelée à diminuer avec la multiplication des véhicules électriques, « la majorité des émissions particulaires imputables à la circulation routière pourrait provenir de sources hors échappement dès 2035 », souligne le rapport de l’OCDE. Ajoutant que le trafic routier est responsable de 25% de la pollution aux particules en suspension (PM10 et PM2.5) dans les zones urbaines à travers le monde.
Les émissions d’échappement, seules réglementées à l’heure actuelle
Si l’exposition à ces particules (PM) – toutes origines confondues – provoque des infections respiratoires aiguës, des cancers du poumon et des maladies respiratoires et cardiovasculaires chroniques, seules les émissions d’échappement sont réglementées à l’heure actuelle.
La transition vers les véhicules électriques et à hydrogène ne réglera pas le problème
Si elle réduit la pollution au CO2, la transition vers les véhicules électriques et à hydrogène ne mettra pas fin à l’émission de ces dangereuses particules dans l’air, avertit l’OCDE. Certains affirment même que cela pourrait l’augmenter. Le rapport poids/puissance d’un véhicule électrique ne jouant pas en sa faveur sur ce coup là … loin s’en faut.
Le poids de la batterie des véhicules électriques : un gros hic …
Si les véhicules électriques légers, à faible autonomie, rejettent certes entre 11 et 13 % de PM2.5 de moins que les véhicules thermiques de même catégorie, en revanche, les véhicules électriques chargés de lourdes batteries affichent des émissions de PM2.5 de 3 à 8 % plus élevées que les véhicules classiques.
Car qui dit poids, dit augmentation du phénomène d’usure des pneus …
L’usure dépend de la masse, du couple, et de la façon de conduire
Les pneumatiques vont parcourir un nombre de kilomètres très différents selon le véhicule, son couple, la façon de conduire, le parcours moyen (ronds-points, freinages, vitesse, etc…), la masse du véhicule, l’abrasion de la route. Si les pneus font 40 000 km (souvent l’arrière parcourt plus sur une traction), une voiture qui perd 2 kg de gomme par pneu émet donc 8 kg de particules sur les 40 000 km soit 0,2 g de particules par km.
Pollution des freins, pneus et poussières : un rôle central dans le futur
Selon Walid Oueslati, économiste à l’OCDE et coordinateur du rapport, la pollution des freins, pneus et poussières du macadam jouera « un rôle central dans le futur ». « Au niveau national, les politiques publiques doivent prendre en compte cette pollution. Et nous avons aussi besoin de coopération internationale sur ce sujet », a indiqué M. Oueslati lors d’une conférence de presse.
Prendre en compte l’ensemble des émissions, toutes origines confondues
Le rapport considère comme une priorité d’établir des méthodes normalisées de mesure des émissions de particules hors échappement.
Elément majeur : il suggère également que les véhicules électriques ne soient pas exonérés des péages destinés à réduire la pollution automobile. Selon les auteurs du rapport, les réglementations ciblant la circulation routière devraient au contraire prendre en considération les émissions à l’échappement et « hors échappement » de tous les véhicules, et tenir compte de facteurs comme le poids des véhicules et la composition des pneus.
Les décideurs devraient en outre privilégier des mesures qui raccourcissent les déplacements motorisés, limitent l’accès des véhicules aux zones urbaines et encouragent les transports collectifs, la marche et l’usage du vélo, conclut le rapport de l’OCDE.
Notre avis, par leblogauto.com
Publiée l’été dernier, une étude d’Emissions Analytics – leader mondial dans l’analyse des émissions de véhicules – indiquait d’ores et déjà que les pneus rejetteraient jusqu’à mille fois plus de particules fines que les moteurs, selon les conditions routières.
Soulignant tout particulièrement qu’ « avec l’augmentation des ventes de SUV plus lourds et de voitures électriques, les émissions venant d’autres éléments que du pot d’échappement » constituaient un véritable problème.
Selon Nick Molden, PDG d’Emissions Analytics, le principal challenge de l’industrie automobile sera désormais de réduire le poids des véhicules, afin que les pneus s’usent moins vite, et produisent donc moins de particules fines.
Nouveau défi pour les constructeurs alors que véhicules électriques et SUV tiennent désormais le haut du pavé …
Sources : AFP, OCDE, Emissions Analytics
Vite malussons les pneus et les freins…..
« une voiture qui perd 2 kg de gomme par pneu »
Je ne pensais pas qu’un pneu était aussi lourd pour pouvoir perdre autant de masse.
Cela pèse une blinde et vu que c est de la masse en mouvement encore plus important.
Un PS4 en 18 cela pèse dans les 11kg. Mes OZ en 18′ pèsent 7.2kg contre quasi 13kg pour mes jantes OEM.
2kg, ça fait que 500g par pneu soit environ 5% de sa masse, c’est possible
C’est noté 2kg par pneu, pas 500g par pneu 😉
@seb : Pneu de 208, 195/55R16.
16 pouces + 2*5,5 cm de diamètre soit 40,64 + 11 cm = 51,64 cm de diamètre sur 195 mm de large.
Un pneu s’use sur 6 à 7 mm, passant de 8/9 mm à 1,6 mm. Prenons 6 mm. Le rayon passe donc de 25,8 cm à 25,2.
On a donc un volume de gomme qui s’use d’environ 1875 cm3.
On compte genéralement une densité pour la gomme des pneus de route de 1200 kg/m3.
Ici, cela nous donne 2,25 kg d’usure…
Si on revenait a des 180/55 r14, on divise par 3 ou pas loin la gomme qui s’envole en particules.
Cela ne se voit pas ce poids qui disparait mais il y. Bien plus de 2kg par pneu. Calculez pour votre voiture et ramenez cela aux km que parcourent vos gommes avant l’usure… (Les chiffres d’Elisabeth ne sortent pas du chapeau mais de mes calculs 😉 ).
@Thibaut Emme, je ne doute pas des chiffres donnés dans l’article, c’est juste que ça me parait énorme. Un pneu perd le poids d’un (petit?) nourrisson, ou de 2 paquets de sucre ou de farine. Je n’avais aucune idée de la valeur que ça représentait et je ne m’attendais pas à ce que ce soit autant.
Merci @Thibaut Emme et @Wizz pour vos calculs. Je me coucherais moins bête ce soir, et c’est bien tout l’intérêt des commentaires. ^^
@seb : oui c’est énorme et cela a considérablement accru avec la taille des pneus.
Déjà une 206 basique (155 65/R14) c’est environ 1,7 kg de gomme par pneu (et encore si on considère que l’on n’use que 6 mm et pas plus).
Un Scenic 4, c’est du 195/55R20 soit env 2,7 kg de gomme. Il faut voir si cela fait le même km ou pas…
Un 3008 GT (235 55/R18) c’est 2,85 kg env.
Un Porsche Macan peut aller jusqu’à 295/35R21…soit 4 kg de gomme !!!! Imaginons que ce Macan mange les pneus en 50 000 km (si quelqu’un en a un pour témoigner…), cela donne 4*4kg pour 50 000 km soit 0,32 g de particules (de tailles différentes) par km.
Euro6d c’est 4,5 mg/km de particules…ici on est à 320 mg par exemple. Même en faisant 100 000 km avec ses pneus, le Macan c’est 160 mg/km…40 fois plus que la norme 🙂
Voilà bien l’un des soucis que l’on souligne depuis plusieurs années et que bcp connaissent.
Autant sur les pneus, c’est difficile de faire qqch (à part limiter la taille des pneus ou imposer un km minimum), autant sur les freins ont peut « facilement » mettre des aspirateurs ou cendriers.
Et encore il faudrait prendre en compte egalement la structure meme du pneu. Qui s usent le plus entre un pneu ete et un hiver ?
Un semi au gros pouvoir d adherence va emettre plus de particule qu un pneu eco ….
Euh… Vite une taxe!
« Un aspirateur à poussières de frein »
https://www.lefigaro.fr/automobile/2014/02/17/30002-20140217ARTFIG00312-un-aspirateur-a-poussieres-de-frein.php
…déjà ça !?
ou un tambour…
Il faudra alors évoquer les ralentisseurs qui forcent a freiner devant jusque 10-20km/h le plus souvent, puis réaccélérer derrière, sans compter l’usure accélérée qu’ils provoquent aux amortisseurs et aux liaisons du châssis, et l’inconfort et le mal de dos des passagers : la solution étant de rouler en véhicule avec une garde au sol supérieure. Ah mince, ils sont plus lourds et comme un cercle vicieux augmentent ainsi les rejets de particules…
Et les rond-points tous les 500m ou ceux complètement inutile en pleine cambrousse et pas éclairés la nuit…
entierement en phase ainsi que les priorites a droite etc… c est ca qui augmente la pollution
on pourrait aussi de la reduction du nombre de place des parkings a mon sens…
Sinon, Citroën avait avant la solution qui permettait de rouler sur 3 roues grâce à la suspension hydropneumatique
Pour sauver les bébés phoques, je propose purement et simplement l’usage des pneus et des freins.
Revenons aux roues en bois (recyclé hein…pour sauver l’Amazonie) et utilisons un Telma pour freiner.
L’interdiction de…*
À quand une fonction « éditer » chez LBA ?
On peut, depuis des années. Mais pour cela il faut être connecté.
On peut éditer hm 10 ou 15 minutes je ne me souviens plus exactement du paramétrage.
En voiture électrique, on garde ses plaquettes jusqu’à 200 000km environ parce qu’on freine avec le frein moteur. Le poids des batterie lui est certes encore problématique mais va crescendo avec l’amélioration de la technologie.
Décidément la voiture individuelle en ville n’a pas beaucoup d’avenir.
ah bon etes vous sur de vous? le poids des packs batterie ne fait qu augmenter
Bah en l’occurence il n’a pas tort, ayant une Model 3, franchement, je n’utilise que rarement les freins. La plupart du temps, c’est le « frein moteur » qui fonctionne, et en plus, récupère de l’énergie.
Pour ce qui est de la diminution du poids des batteries, ce n’est pas trop visible vu qu’on est en phase ascendante de l’autonomie des voitures, mais en gros en 10 ans on a dû diviser au moi par 10 le poids nécessaire pour une capacité donnée.
oui sauf que dans la realite le poids ne diminue pas… le rendement au poids c est ameliorer sur les moteurs essence ou diesel mais le poids des voitures n a fait qu augmenter…
Lorsque je suis sur mon smartphone (c’est le cas). je peux me connecter sans problème
Mais lorsque je suis sur le PC je ne vois pas d’endroit dédié à la connexion … et l’édition de messages n’est pas possible.
Juste au dessus de la zone de saisie de texte pour les commentaires, il y a un « Connectez-vous avec :
Facebook Google Tweeter » ( trois bouton avec le logo de chaque word compagny)
Mais chacun des boutons redirigent irrémédiablement vers une page error 406: « The session identifier is missing »
Résolution à faire par l’éditeur du site :
https://miled.github.io/wordpress-social-login/troubleshooting.html
Je me suis donc trompé en écrivant que je ne trouvais pas l’endroit à cliquer pour me connecter. Honte à moi !
Mais je suis effectivement sauvé par le gong, la demande de connexion mène nulle part.
Qui c’est qui avait raison ?
C’est Christophe !
Toujours un problème hein. Si c’est pour dire qu’il y a toujours qque chose qui pollue, pas besoin d’une étude on le sait déjà.
On a qu’à supprimer les frein ou encore mieux les roues. Et oui , pas de roue pas de frein pas de problème.
Passons directement à l’aéroglisseur.
Bon sinon on peut revenir au cheval mais dans qques années ils nous ponderons une étude disant que le crottin de cheval et responsable de milliers de morts.
Ou alors, comme certains le préconisent sur ce site, un comble, supprimons tout transport individuel (du SUV au vélo… À assistance électrique), voire maintenons les attestations de déplacement pour éviter tout déplacement essentiel ! Et le tour est joué
Ho tiens j’ai une autre solution : on reconstruit toutes les routes et toutes droite, sans dos d’âne ni rond point ni priorité à droite. Voilà plus de problème de frein et une conduite stabilisée.
Bon on pourra aller que dans un sens puis revenir dans l’autre mais bon si ça sauve des vies.
Sinon reste le vélo pour tous et un gros manteau chauffant. On se fera livrer le reste par des livreurs en vélo ( à eux de se débrouiller pour livrer des kilos et des kilos en vélo).
Allez j’arrête mes délires. Mais faut dire que ça m’a fais bcp rire
Ça existe déjà, ça s’appelle une autoroute.
C’était historiquement la raison des voies romaines : limiter l’usure circonferentielle latérale des ferrures de roues et de fers à cheval.
Changer de paradigme voyons (j’adore) : pourquoi vouloir se déplacer alors que la télétravail existe, que la television existe pour les loisirs (opéra, cinéma, curling), que les plates-formes de ventes en ligne existent, que TikTok existe.
Bon, pour les ouvriers, je propose le ramassage collectif ou de dédier un pays à cette tâche de manufacture (l’Allemagne pour la qualitatif et la Chine pour le reste par exemple pour rester dans des poncifs). Des cités ouvrières seraient bien plus ecolo responsables.
Pour les coiffeurs : faut pas exagérer, on sait faire ça soit-même grâce aux tondeuses, pour les esthéticiennes, c’est pas ecolo.
Même la médecine a trouvé solution avec doctissimo.
Pour les plate-forme de vente en ligne, une plate-forme nationale ou européenne unique car la concurrence n’amène que plus de dépenses d’énergies. D’ailleurs, je fais souvent venir d’Italie ou d’Allemagne mes commandes Amazon car 9 fois sur 10 moins chères là bas.
Même la voiture électrique n’est plus nécessaire sinon quelques Ami pour les cas exceptionnels et les livraisons UPS par camionnettes mal garées électriques.
Le monde de demain sera si beau et tranquille sans bruit ni gens à l’extérieur (car à quoi bon, user des gommes de chaussures ?)
@mwouais: ?????????? j’adore
Supposons que la roue fait 2m de périmètre (genre 205/60R15, soit rikiki de nos jours).
La largeur fait 20cm.
Les rainures feraient 50% de la bande de roulement (pneu très rainuré)
On use le pneu sur 5mm
Alors cela représente 1000cm3, et donc environ 1.2kg de gomme
http://eric.cabrol.free.fr/DynamiqueVehicule/pneu.html
De nos jours, ce sont plutôt des jantes de 17″. Soit pour réhausser le véhicule, soit pour donner l’apparence viril, soit pour pouvoir y caser un grand disque de frein… Le périmètre fait bien plus que 2m
205 de large, ça fait rikiki avec des SUV
des pneus typé été, pas tant de rainure que ça, donc davantage de gomme par unité de surface (et tant pis si la France est dans la merde avec 2cm de neige sur les routes)
bref, et donc 2kg de gomme par pneu, ce n’est pas déconnant comme valeur
la cause principale de la pollution des freins et pneus se situe exactement entre le volant et le siège…
@wizz : je viens d’aller voir dans ma voiture : il n’y a rien entre le siège et le volant.
C’est l’air ?
tu as une voiture autonome?
Reste que l’usure est fonction de la distance parcourue donc du périmètre du pneu.
Dire qu’un pneu de 14″ perd moins qu’un pneu de 17″ est vrai,… relativement.
@Mwouais cela dépend de la distance…qui n’est pas proportionnelle à la circonférence.
Existe t-il une étude sur la variation de l’abrasion des pneus en fonctions des types de conduites et des revêtements?
Qui dit abrasion dit accroche et le bitume autoroutier l’est souvent beaucoup plus pour limiter les accidents et la durabilité ?…
En ville si la voiture représente 25% des particules quid des actions pour limiter les autres causes ? Moins de chauffage au gaz pour le CO2 mais si plus de fioul ou de bois, bonjour !!
Pour les électriques, en plus de l’économie sur les plaquettes, on peux espérer qu’une gestion plus fine de l’anti patinage au démarrage limite la conso de gomme et il y a sûrement une optimisation à réaliser sur les revêtements urbains avec des enrobés sans pétrole et moins abrasif . Les voitures peuvent aussi avoir un mode ville, plus ou moins contraint, qui limiterait les accélérations et surabrasion… dans des versions en conduite « autonome »
Le nouveau pneu Michelin sans air, pourrait-il, en partie, être une solution qui améliore la situation ?
… Associés aux aspirateurs à poussières de frein embarqués
https://www.automobile-magazine.fr/toute-l-actualite/article/25515-michelin-prevoit-le-pneu-sans-air-pour-2024
Vous parlez de celui-là ? https://www.leblogauto.com/2019/06/michelin-lon-reparle-non-pneumatique.html 😉
Alors non, cela ne change pas car l’usure va être la même.
Pour limiter l’abrasion des pneus et de la route, il faut diviser par deux le poids des véhicules (ou plus).
Donc avoir des AX à 750 kg en gros 🙂
OK, merci.
Je propose qu’on roule tous d’Ariel Atom.
Ça fait quoi 600kg max c’est pas non?
Caterham… et AMI pour la semaine 😉
ou Mia !? 😀
https://www.automobile-propre.com/le-pari-ose-societe-germano-suisse-pour-ressusciter-mia-electric/
https://www.leblogauto.com/2019/09/mia-revient-plus-dautonomie.html
Ou avoir des routes moins abrasives 🙂
J’aime la conduite sur glace
Il est clair que les habitudes de conduite « sportives » d’une majorité d’automobiliste (constatation personnelle), du genre arriver sur un rond-point debout sur les freins plutôt que d’accepter de perdre 5 s en utilisant le frein moteur, ça aide pas.
Mon record personnel avec ma Laguna dci 125 il y a quelques années, sur un trajet de 370 km (départementales, voies rapides et traversées d’agglomérations), 4.3 l / 100 km. Et en roulant au desssus des limitations de vitesses en descente pour éviter de trop accélérer dans les montées…
Bah oui, pour respecter 80 ou 90 km/h, il y des descentes où on est obligé de freiner !
Les limitations de vitesse couplés à une radarisation forcenée génère de la pollution ! C’est ballot.
il y a des descentes assez pentues et assez longues pour qu’on finisse par dépasser les limitations de vitesse, forçant à freiner mécaniquement ou électro-mécaniquement. Ceci dit, si ce n’est pas trop pentue ou pas trop long, on peut ne pas dépasser la limite….à condition d’aborder la descente à une plus faible vitesse. Peu avant la descente, tu lèves le pied. Tu commencerais par exemple à 60km/h, et finirais à 80km/h. Quitte à anticiper, autant tout anticiper, si tu connais le parcours….
La plupart du temps le frein moteur (le fameux Motorbremsen que l’on voit sur certaines autoroutes 🙂 ) suffit à maintenir la vitesse. Un léger coup de frein fini de ralentir le véhicule.
Sinon on pourrait aussi généraliser le freinage magnétique sur les voitures…ou attendre que toutes passent à l’hybride (donc à la régénération électrique).
Ca peut dépendre si c est un Diesel ou un Essence aussi le fort frein moteur.
Et a force d’obliger tout le monde à rouler le pied sur le frein…
l’OCDE…
Les batteries au graphème (plus léger) et différentes tailles de batterie pour les VE, devraient améliorer nettement le changement de la donne des VE en général, j’espère que ça arrivera dès 2025 !?
Le graphène se met sur les électrodes.
Le gain est valable pour des petites batteries (petites en taille). Pour des grosses batteries, le gain est moins sensible
Tu veux dire qu’on met en marche des millions de tonnes de batteries actuelles et des moyens de recyclages pour modifier substantiellement la technologie (donc probablement les possibilités des superchargers et l’obsolescence des bornes actuelles) et les futurs besoins de recyclages ?
Les particules les plus fines sont souvent considérées comme dangereuses.
Le Particules totales en suspension ( TSP ) se répartissent en plusieures catégorie en fonction de leur diamètre.
On y retrouve les PM10, qui sont toutes les particules ayant un diamètre inférieur ou égal à 10microns.
le PM2.5 qui ont un diamètre inférieur ou égal à 2.5microns. Par définition elles font aussi partie des PM10, puisse que par définition (aussi) elles font donc moins de 10microns. Et les PM 0.1 : bon vous avez compris quoi…
Le saviez vous?
On donne un nom plus sympathique que pm10, pm 2.5 ou pm0.1 aux particules en suspension. Par exemple les : Particules fines. Les particules fines sont les PM2.5, pas plus gros que ça. Les PM10 qui ne seraient pas des P2.5 ( donc entre 2.5 et 10microns) sont des particules grossières. Pas à cause de leur langage HEHEHEHE.
Les pm0.1 sont des particules ultra fines !
Le saviez vous?
On dit souvent que plus elles sont petites plus elles sont dangereuses et
les virus dans l’air font partie des particules ultra fines et PAF!
Le saviez-vous?
Plus de 70% des pm10 proviennent de la combustion de biomasse ( mot ecolosexy regroupant entre autre : le bois et les déchets)
Le saviez-vous?
En 2018 en France les PM10 c’est 15% du au transport, 24% du à l’agriculture, 26 % du à l’industrie manufacturière et 34% du au résidentiel/bâtiment.
Le saviez-vous?
70% des PM10 sont des PM2.5 des particules fines)
Le saviez-vous?
En 2018 en France les PM2.5 c’est 10% de l’agriculture, 18% du transport, 18% de l’industrie manufacturière, 53% des bâtiments.
Le saviez-vous?
Les PM2.5 flottent dans l’air durant des jours ou des semaines et voyages sur de longues distances.
Le saviez-vous?
68% des pm1.0 ( fines et ultra fines) sont dues aux bâtiments. 14% à l’industrie manufacturière et 13% au transports.
Le saviez vous?
Entre 1991 et nos jours la masse de Particules émises en France ( hors transport international) à diminué de 3 fois pour les PM1.0, les pm2.5 et PM10.
ressourçons nous :
https://www.citepa.org/wp-content/uploads/Citepa_Rapport-Secten_ed2020_v1_09072020.pdf
Quand tu parles de bâtiments, tu parles des métiers du BTP ou d’un bâtiment dont la construction est terminée?
Dans ta formulation, tu sembles parler d’une bâtiment terminé, et dans ce cas, je ne vois pas bien comment un truc fixe peut émettre des particules. Est ce que par exemple ça peut être l’usure de la toiture ou du ravalement sous la pluie?
Quand je parles de bâtiments, ce n’est pas l’industrie du BTP. Mais bien la pollution du à l’activité dans les bâtiments, hors industrie évidemment. Pour faire simple c’est le chauffage, que l’on retrouve chez soi, les bâtiment publics, les bureaux, les cinémas etc… c’est le secteur « résidentiel/tertiaire », évidemment il existe d’autres pollutions dans ce secteur : les produits ménagers, les tondeuses thermiques, les gaz réfrigérants etc… mais le plus important reste le chauffage.
Si je reprends la source citée plus haut :
« Ce secteur regroupe diverses sources d’émissions rassemblées en deux grands secteurs: le résidentiel(chauffage, climatisation des bâtiments d’habitation, engins de loisirs et jardinage, utilisation domestique de solvants, etc.)et le tertiaire(chauffage, refrigération, climatisation des bâtiments des entreprises, commerces, institutions et. Services publics, etc.).
le vrai problème de pollution des véhicules électriques, ce sont les batteries. Leur fabrication et leur utilisation massive et croissante ainsi que leur recyclage en fin de vie présentent des risques importants, du fait principalement des substances chimiques toxiques et corrosives que contiennent les accumulateurs électriques : Cette large production et utilisation des batteries électriques nécessite, par des mesures de prévention appropriées, de réduire toutes les expositions pour diminuer fortement les risques associés : https://www.officiel-prevention.com/dossier/protections-collectives-organisation-ergonomie/risque-chimique-2/la-prevention-des-risques-professionnels-des-piles-et-accumulateurs-electriques
Un peu comme sur les plateformes pétrolières, les raffineries, les stations services, etc.