3000 emplois pour 300 000 batteries lithium-ion
La société, qui a jusqu’à présent déclaré avoir levé environ 10 millions de livres sterling (11 millions d’euros), a déclaré que l’usine du port de Blyth serait construite en trois étapes, qu’elle emploiera jusqu’à 3000 personnes et produira au moins 300 000 batteries lithium-ion par an d’ici 2027.
Soutien du fonds du gouvernement britannique
Britishvolt a demandé à bénéficier du soutien du fonds du gouvernement britannique d’un milliard de livres sterling mis en place pour soutenir la production de masse de batteries et aider l’industrie automobile à se tourner vers la fabrication de véhicules électriques (VE).
Le fonds a été annoncé par le Premier ministre britannique Boris Johnson le mois dernier lors d’une allocution faisant part de son projet d’interdire la vente de véhicules neufs à moteur thermique à partir de 2030.
Britishvolt : seule entreprise décidée à construire une usine de batteries outre Manche
Britishvolt est jusqu’à présent la seule entreprise à avoir annoncé son intention d’établir un site de production de batteries au Royaume-Uni.
Le directeur de la stratégie, Isobel Sheldon, a déclaré que les batteries de Britishvolt seraient de 20 à 25% plus performantes que celles de Tesla.
Elle a par ailleurs déclaré que la société avait revu ses investissements à la hausse et qu’elle envisageait une cotation en bourse.
L’UE veut se rendre indépendante de la Chine
La Chine héberge désormais environ 80% de la production mondiale de cellules lithium-ion, mais l’Union européenne prévoit de doper la production locale et pourrait être autosuffisante d’ici 2025.
L’Europe compte 15 usines de cellules de batteries à grande échelle en construction, y compris les usines de Northvolt en Suède et en Allemagne, l’usine allemande du fabricant de batteries chinois CATL et la deuxième usine de la société sud-coréenne SK Innovation en Hongrie.
Notre avis, par leblogauto.com
Une preuve que les menaces de hard Brexit ne déroute pas certaines entreprises. De telles start-ups – certes britanniques – étant prêtes à miser sur le Royaume-Uni.
Sources : Reuters
Bojo promet beaucoup d’argent à beaucoup de monde.
Où va-t-il le trouver et comment va-t-il le rembourser ? Sans le soutien et la garantie du fonds européen ça risque de vite devenir compliqué.
Le co fondateur de Britishvolt est vient de Abu Dhabi, United Arab Emirates .
Avec les « Arabes unis » il y a toujours des caisses de dollars, si l’affaire est bonne.
en attendant la dette au pib est à 83% en UK…..combien en gaule déjà qu’on se marre…..et c’est une dette d’investissement en UK quand elle est essentiellement en fonctionnement en gaule….enfin bref, on va se marrer je sens, quand les faits vont être d’une évidence limpide, et la fadaise européenne démasquée
C’est bien de produire des batteries sur l’île mais si on ne produit plus de voitures sur l’île, ce sont des bateaux de transport de batteries vers l’Europe qu’il va falloir affréter.
Nous sommes d’accord 😉
Et pour les vendre à quelle marque si les batteries ont une taxe de 50% ???
Comme si en zone euro , on ne savait pas les fabriquer …..
Mwouais, Elisabeth, nous sommes d’accord et on-eut donc imaginer qu’il parie sur les subventions à court terme et non sur la stratégie à long terme, ce qui n’est pas rassurant…
Désolé : et on peut donc imaginer
bonsoir
avec le brexit il est prudent que le royaume soit indépendant au maximum des importation.
la difficulté c’est de choisir la bonne technologie
« les batteries de Britishvolt seraient de 20 à 25% plus performantes que celles de Tesla. »
lesquelles? les actuelles ou les futures? Et quelles futures, les entrées-de-gammes ou les hauts-de-gammes ? (parce qu’il y aura 3 types de cellule 4680)