Un importateur de Dubaï réclame 50 millions de dollars à Aston Martin
Tout semblait parfait pour Aston Martin. Depuis sa rupture avec Ford et sa reprise par un conglomérat de sociétés basées au Koweït, les nouveaux modèles senchaînent à un rythme effréné et les carnets de commandes sont pleins à craquer. Tout est parfait pour la marque de Newport-Pagnell? Pas tout à fait. Elle pourrait bien se voir délester de quelques 50 millions de dollars à cause dun différend avec lun de ses importateurs.
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Tout semblait parfait pour Aston Martin. Depuis sa rupture avec Ford et sa reprise par un conglomérat de sociétés basées au Koweït, les nouveaux modèles senchaînent à un rythme effréné et les carnets de commandes sont pleins à craquer. Tout est parfait pour la marque de Newport-Pagnell? Pas tout à fait. Elle pourrait bien se voir délester de quelques 50 millions de dollars à cause dun différend avec lun de ses importateurs.
Pour comprendre le contentieux, retour en 2003. Le pétrole coulait à flot dans le golfe persique lorsque Aston Martin passait un contrat exclusif avec ce qui devenait Middle East Aston Martin ( MEAM ) et qui en contrepartie dun juteux financement, arrosait la région de Dubaï de belles anglaises. Le contrat entre la firme anglaise et limportateur séchelonnait sur cinq ans et le deal semblait remplir toutes les attentes de ses deux co-contractants, qui auraient dû logiquement reconduire laccord au moment où il serait arrivé à son terme ( cest-à-dire en ce début 2008 puisque le contrat vient tout juste de se terminer ). Seul problème, entre temps Aston Martin a été racheté et ses repreneurs koweitiens nont pas reconduit le contrat, laissant MEAM un peu dépourvu. Alors, les avocats de limportateur réclament à Aston Martin le remboursement des frais engagés pour développer les marchés dAston Martin dans la région, des investissements chiffrés à tout de même 50 millions de dollars. Alors comment faire pour dénouer cet insolvable conflit?
Je propose que lagent secret de sa majesté monte immédiatement dans sa DBS - sans doute en meilleur état depuis ses escapades du Casino Royale - pour venir y mettre un terme.
Pas de soucis d'importations en revanche au Paul Ricard où la famille Aston Martin était bien là au complet:
Tout semblait parfait pour Aston Martin. Depuis sa rupture avec Ford et sa reprise par un conglomérat de sociétés basées au Koweït, les nouveaux modèles senchaînent à un rythme effréné et les carnets de commandes sont pleins à craquer. Tout est parfait pour la marque de Newport-Pagnell? Pas tout à fait. Elle pourrait bien se voir délester de quelques 50 millions de dollars à cause dun différend avec lun de ses importateurs.