A partir du 1er juillet, tout conducteur devra avoir en sa possession un éthylotest valide, qu'il soit chimique ou électronique. Si les premiers ne coutent qu'1 euro, les seconds s'échangent en moyenne entre 100 et 150 euros. Cela n'a pas manqué d'aiguiser l'appétit de certains petits malins qui pensaient pouvoir profiter de l'occasion pour faire des affaires, quitte à s'arranger avec la loi.
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A partir du 1er juillet, tout conducteur devra avoir en sa possession un éthylotest valide, qu'il soit chimique ou électronique. Si les premiers ne coutent qu'1 euro, les seconds s'échangent en moyenne entre 100 et 150 euros. Cela n'a pas manqué d'aiguiser l'appétit de certains petits malins qui pensaient pouvoir profiter de l'occasion pour faire des affaires, quitte à s'arranger avec la loi.
Selon un communiqué de la Direction Générale des Douanes et Droits Indirects (DGDDI) 19 500 éthylotests non conformes ont été saisis en 1 mois - soit une valeur d'environ 2 millions d'euros. Quasiment la totalité était importée de Chine et aucun n'avait de certificat de conformité. Les saisies se sont concentrées à 75% sur l'aéroport international de Roissy Charles de Gaulle, mais d'autres ont été également opérées sur Marseille, Lyon ou à l'aéroport de Nice.
Dans ce dernier cas, c'est une saisie de 1 700 appareils achetés 1 euro pièce à Hong-Kong et revendus 100 euros environ. Une jolie plus-value qui, avec la loi de juillet prochain, ne devrait pas calmer les appétits des plus téméraires. Sans certificat de conformité, rien ne garantit à l'acheteur la justesse de la mesure et il pourrait donc conduire au-dessus du taux légal en toute bonne foi. De plus en cas de contrôle, cet appareil ne lui serait d'aucune utilité et il se verrait dresser une contravention de 11 euros.
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A partir du 1er juillet, tout conducteur devra avoir en sa possession un éthylotest valide, qu'il soit chimique ou électronique. Si les premiers ne coutent qu'1 euro, les seconds s'échangent en moyenne entre 100 et 150 euros. Cela n'a pas manqué d'aiguiser l'appétit de certains petits malins qui pensaient pouvoir profiter de l'occasion pour faire des affaires, quitte à s'arranger avec la loi.