Catégorie : Endurance

Stefan Johansson engagé par Highcroft Racing Acura

Le suédois rejoint David Brabham dans l’équipe de Duncan Dayton. Déjà annoncé comme participant aux essais de Sebring dans deux semaines, il est confirmé à son poste, riche de deux victoires à Sebring et une au Mans. A 50 ans, il a accumulé les tours de piste en F1, Champ Car, endurance, et a goûté au GP Masters Series l’an passé, entre autres. Sa dernière apparition permanente en ALMS était au volant de l’Audi R8 du Team Champion en 2003, mais il a mené les efforts de Zytek Motorsports en 2006 pour les deux dernières courses de la saison. Ne manque à l’ALMS qu’un retour de Lehto et de Herbert maintenant…

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L’IMSA statue sur l’équivalence des carburants

Pour la saison ALMS 2007, l’IMSA choisira une essence et un diesel tous deux disponibles à la pompe et les imposera aux concurrents. En cours de saison, un troisième carburant à base d’éthanol sera développé et mis à disposition des équipes, à leur discrétion. La parité essence-diesel sera assurée par l’équivalence de la capacité énergétique embarquée dans la voiture.

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Loeb veut courir au Mans, même gratuitement

Pescarolo ayant des difficultés pour réunir son budget (malgré 2 titres en LMES), Loeb lui a proposé de courir gratuitement. Si le pilote a fait cela, c’est par amitié pour l’équipe et par amour de l’épreuve. Une attitude très chevalersque, que l’on n’avait plus vu depuis des années de la part d’un grand champion. Preuve s’il en est que Loeb n’est pas uniquement un bon pilote polyvalent, c’est également un grand homme.

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ALMS: livraisons de Porsche et calendrier 2007

A trois semaines des essais hivernaux officiels, Flying Lizard Motorsports a reçu hier sa paire de Porsche 997 RSR avec lesquelles il attaquera le championnat GT2 2007. Tafel Racing devrait recevoir les siennes la semaine prochaine, ainsi que Rahal Letterman Racing (une seule voiture engagée pour Rahal et pour le moment). Voici l’occasion de revenir sur le calendrier des festivités, plus long de deux épreuves dans deux marchés porteurs pour l’ALMS… à condition bien sûr qu’il reste quelque chose à porter, vu le peu d’empressement mis à confirmer quoi que ce soit en LMP1 et GT1.

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Rencontre avec Benoît Tréluyer, champion expatrié, seconde partie

Voici la seconde et dernière partie de notre entretien avec Benoît Tréluyer, homme fort de la saison de sport auto 2006 au Japon: après nous avoir expliqué les raisons de sa présence sur les circuits japonais et son appréciation de son équipe et des fans, il nous éclaire cette fois sur ses rapports avec les autres pilotes, sa vie de pilote d’usine, sa passion pour les 24 heures du Mans, ses projets, et nous livre son avis très autorisé sur le circuit qui accueillera le Grand Prix du Japon 2007, le Fuji Speedway. Benoît, c’est à toi.

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Rencontre avec Benoît Tréluyer, champion expatrié, 1ère partie

On a coutume de dire que le Français n’est pas un grand voyageur. C’est peut-être vrai, mais alors la maxime ne s’applique pas aux pilotes de course. On connaît bien les exploits de Sébastien Bourdais, multiple champion de Champ Car aux Etats-Unis, où il côtoie les frères Philippe, il y a les spécialistes de l’endurance comme Romain Dumas ou Manu Collard, pour ne citer qu’eux, mais il ne faudrait pas oublier le petit groupe qui brille sur les circuits japonais, et dont le meilleur représentant pour 2006 est Benoît Tréluyer, champion de Formula Nippon et valeur sûre du championnat SuperGT. Bref, le top niveau sur les pistes du deuxième marché automobile mondial. Il s’avère que c’est en plus un garçon extrêmement sympathique qui a bien voulu nous accorder un long entretien en marge du Nismo Festival 2006.

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Retour sur le fiasco en ALMS GT1

L’ALMS a une formule attirante. Des pilotes célèbres, des marques prestigieuses, des programmes exclusifs, quatre catégories en piste simultanément, et l’orientation générale vers les fans créent des week ends de course exceptionnels tant sur place que dans son salon. Pourtant la saison 2006 a pris un goût amer pour les compétiteurs en GT1: Aston Martin et Corvette. Le nivellement des performances sur fond classique d’injustice a donné à la série une profondeur en politique interne qu’elle ne se connaissait probablement pas. Voici un retour sur les modifications des spécifications techniques et leur impact sur les résultats.

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