Catégorie : Compétitions Auto

Proximus 24 Hours of Spa : Maserati dès le début

Voilà, les 24 heures de Spa ont vraiment démarré ce samedi à 16 heures. 44 voitures s’affronteront pour un double tour d’horloge. Dès le premier tour, les Maserati ont montré quelles ne comptaient pas laisser lAston Martin de Piccini ouvrir la route. Sur un dépassement très osé, à la limite de la touchette, Davies, au volant de sa MC12, prend le commandement à la Chicane du Bus stop. Peu après, cest Bertolini qui prendra la seconde place. Après 45 minutes de course, ce sont donc les deux Maserati MC12 du team Vitaphone qui sont au commandement. Les premiers changements de pilote commencent. Rendez-vous sur le Blog Auto pour vivre lépreuve de l’intérieur. Vous pouvez aussi jeter régulièrement un oeil sur les tableaux officiels.

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Proximus 24H of Spa (FIA GT) : Bravo Najim !

Il est de belles histoires qui sécrivent à la sueur du front ! Celle de la Dodge Viper de Pilotage Passion est lune delle. Nous sommes jeudi soir, fin de la seconde séance dessai qualificatif. Le chrono de cette GT3 partagée entre Nozière, Brouard, Beau et Tremblay sétant arrêté à 2 min 34.818, la voilà située en 39e position sur la grille de départ. Il reste à peine ¼ dheure et lirréparable se produit En collaboration avec Patrick Hayot

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Proximus 24H of Spa (FIA GT) : Cest joué !

Tout est relatif en fait, il est évident que lon parle ici de la pole position ! On se doutait bien que le chrono réalisé ce jeudi soir à Francorchamps ne serait battu, mais histoire de suspense On retrouve donc lAston Martin (5) du quatuor Lémeret/Deletraz/Piccini/Fässler devant les deux Maserati MC12 du team Vitaphone, respectivement Vosse/Davies/Biagi et van de Poele/Bartels/Bertolini. De ces trois voitures, il semble évident que la favorite soit la Maserati. La victoire en 2005 la place effectivement avec la meilleure cote qui soit. De plus, les équipages sont des plus homogènes et très expérimentés. Et si les dires de van de Poele se confirment, à savoir que les temps ont été réalisés avec un moteur « course », une des deux voitures verte et noire devrait rapidement prendre les devants. En collaboration avec Patrick Hayot

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Proximus 24H of Spa (FIA GT) : Plus de dix prétendants à la victoire finale !

Les 58e Proximus 24 Hours of Spa sannoncent comme un très grand cru car à la lecture de liste des engagés, il est bien difficile aujourdhui de sortir le nom dun favori ! Lengouement est tel, le niveau de préparation et de performance est si élevé, et la quantité alliant à la qualité quil nous faudra attendre les premières heures de course pour en découvrir le vainqueur logique. – En collaboration avec Patrick Hayot

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Le Nürburg’ en … hiver !

Petit rajout à la série de vidéos prises sur le Nürburgring "version Homme" avec cet étrange mais ô combien rafraichissant (c’est de saison) tour en Porsche 911 Carrera. Rien de transcendant au demeurant sauf que sous les roues larges de la belle rouge de Zuffenhausen, vous trouverez de la neige ! La météo locale a effectivement tendance à blanchir les 22 km du circuit mais certainement pas à refroidir les ardeurs des amateurs de la boucle Nord. Dites vous que pour assurer un minimun, ils auraient pu choisir une Carrera 4 mais non, c’eut été trop simple ! S’il n’y avait le commentaire, les images sur la musique vous transporterait facilement dans une douce transe revivifiante. Qui a dit qu’une 911 était déséquilibrée ?

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Proximus 24 Hours of Spa (FIA GT) : mise en température !

Pour redonner de la couleur au plus grand événement belge du sport automobile, les 24 Heures de Spa Francorchamps, le RACB (Royal Automobile Club de Belgique) avait repris il y a quelques années la traditionnelle parade entre la ville de Spa et le circuit de Francorchamps distant dà peine 4 km. Et si les premières furent des plus réussies grâce à la complicité dun public nombreux, on peut dire que cette année, ce ne fut pas la meilleure ! En collaboration avec Patrick Hayot

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Le Nürburg’ en 911 RUF

La série des "Nürburg’ en" s’achève (certainement provisoirement) par le must des must, l’exemple parfait, le tour ultime, la quintessence du maniement de volant, le "thrill" magistral orchestré par Stefan Roser, un illustre inconnu du grand public (mais certainement pas pour les initiés) qui se permet de dompter 2 monstres en un seul film de 7.26. C’est comme si le Nürburgring s’etait fait petit devant l’immense talent du bonhomme. L’autre monstre est une Porsche RUF 911 CTR "Yellowbird"  de 1987 (modèle 930) qui est à la 997 ce que la pierre de silex est au Micro-onde . Ou pas loin.

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Le Nürburg’ en Radical SR8

Notre série inspirée par quelques lecteurs adeptes de la chose se poursuit avec le record de piste d’une voiture prétendument de série signé par la Radical SR8 en 6’55". Rien dans une Radical ne s’approche de près ou de loin d’un Scénic ou d’une 407 mais c’est ainsi, elle est homologuée pour la route. Cette barquette est comme nous vous l’indiquions à l’époque, équipée d’un V8 de 360 ch qui ne peine guère à ébranler une plume de 650 kg qui prend 10.500 tr/mn. La performance, toujours sur la Norschleife, de Michaël Verger est tout de même impressionnante à admirer. C’est à la suite de la note sans temps de téléchargement.

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Le Nürburg’ en M3 GTR

Le Nürburgring fait toujours son petit effet notamment en version longue. La vidéo de Derek Bell en Porsche 956C vous a paru un peu fade alors on monte d’un cran. C’est encore un papy qui est au volant mais soyez sûrs qu’il ne sait toujours pas ce qu’est un régulateur de vitesse puisque c’est Hans Joachim Stuck, fils de .., qui joue du cerceau. Pilote depuis 1970, l’homme a écumé les GP F1 mais s’est illustré encore plus brillament dans des courses de Tourisme ou de Production, voire d’Endurance. Pilote BMW depuis toujours, la redoutable M3 GTR n’a pas de secret pour lui. Le Nürburgring, non plus !

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Rétrospective GP de France: Dijon 1979

Certaines courses restent à jamais gravées dans les mémoires. Le Grand Prix de France 1979 disputé sur le circuit de Dijon-Prenois en fait partie à plus d’un titre. A l’époque la régie Renault est engagée en F1 depuis 1977 en s’appuyant sur une motorisation novatrice mais manquant cruellement de fiabilité: la suralimentation. Ses deux pilotes René Arnoux et Jean-Pierre Jabouille, bien que bourrés de talent courrent toujours après leur première victoire. Qualifié en première ligne pour son Grand Prix national, Arnoux manque complètement son départ et pointe à la neuvième place au premier tour. En tête, Gilles Villeneuve s’échappe au volant de sa Ferrari 312 T4.

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