Catégorie : Electrique

Les fondamentaux de Subaru tiennent en deux points : moteur boxer et Symetrical AWD… Deux éléments incontournables qui ne sont nullement remis en cause lors du passage à l’hybride que révèle ce concept de long courrier…

Fans de la Honda CRX, vous espériez découvrir son héritière spirituelle au salon de Tokyo? Il faudra encore patienter un peu, car c’est un nouveau concept, très proche de la CR-Z de série il est vrai, que Honda dévoilera à Tokyo à la fin du mois d’octobre.

Honda, qui a été parmi les premiers à explorer les nouvelles motorisations avec l’Insight première du nom, la FCX basée sur une pile à combustible et l’électrique EV Plus, ne pouvait pas rester hors du rush vers les citadines électriques. Au Salon de Tokyo, le constructeur présentera donc sa propre interprétation de la chose sous la forme du concept EV-N, une toute petite auto qui évoque de façon charmante la N360, une des premières voitures commercialisées par la marque.

Lors du dernier salon de Francfort, la firme germanique e-Wolf en partenariat avec des universités et instituts, allemands également, dévoilaient la e-Wolf e1 monoplace de 450 kg à 500 kg animée par un moteur de 110 kW et 250 Nm revendiquant cinq secondes pour passer de 0 à 100 km/h, 230 km/h en vitesse de pointe et 300 kilomètres d’autonomie pour un prix de vente estimé aux alentours de 150 000 euros (les photographies prises Lamborghini Reventon ce en motorisation 100 % électrique évidemment.

Décidément, Kenstyle, c’est au tour de Tommy Kaira de rendre sa copie.

La consommation, les émissions, la planète, tout ça c’est bien joli, mais ça n’est pas parce qu’on a une Prius ou une Insight qu’on est obligé d’être sérieux, responsable et plein de goût. Les préparateurs japonais, qui voient les courbes de vente de ces deux modèles décidément orientées à la hausse dans un marché bien mou, l’ont bien compris et sortent les uns après les autres des versions de plus en plus extravagantes de la Prius 3 et/ou de l’Insight selon leur allégeance traditionnelle.

Lors d’un entretien accordé récemment aux Echos, Patrick Pelata – directeur général délégué de Renault – a confié que la marque française était « toujours au fond de la crise ». Plusieurs opérations ont déjà été lancées pour permettre au Losange de renouer avec les profits.