Catégorie : Bilan et Finances

Selon Carlos Tavares, directeur général de Stellantis, la transition vers la mobilité électrique représente un « fardeau important » pour les fournisseurs et équipementiers automobiles, alors que l’industrie s’efforce de réduire ses couts pour tenter de faire face à la concurrence chinoise.

Les ventes et la production mondiales de Toyota ont chuté en avril par rapport à l’année précédente, affectées par une intense guerre des prix en Chine et une baisse au Japon suite à l’arrêt de la production de certains modèles et à un scandale de tests de sécurité dans son unité de « small cars ».

Gros flou autour d’une éventuelle annonce que ferait prochainement l’Union européenne en vue de mettre en place des droits de douane à l’encontre des véhicules en provenance de Chine.

Hyundai Mobis est le principal fabricant de pièces automobiles du groupe Hyundai Motor et de la Corée du Sud.
Son dirigeant, Mitchell Yun a annoncé que Hyundai Mobis augmenterait cette année ses investissements dans les pièces automobiles pour véhicules électriques. Preuve que le secteur automobile sud-coréen mise sur les VE.

Stellantis a annoncé vendredi avoir nommé un nouveau responsable pour superviser les ventes au détail aux États-Unis, mettant ainsi fin à un mandat de moins de trois mois de l’ancien directeur des ventes.

Lucid va supprimer environ 400 emplois dans les mois à venir. Une mesure radicale prise par le constructeur de véhicules électriques pour réduire ses coûts dans un marché de véhicules électriques qui subit un important ralentissement à l’heure actuelle.

Stellantis prévoit une bataille majeure avec les concurrents chinois sur le marché européen des véhicules électriques. Son DG, Carlos Tavares a d’ores et déjà averti mercredi de conséquences significatives pour l’emploi et la production qui devraient en résulter.

L’Agence internationale de l’énergie (AIE) alerte sur les risques de tensions dans l’approvisionnement mondial en minerais critiques, appelés ainsi car considérés comme indispensables pour pouvoir assurer la transition énergétique.
Face à ce qui pourrait représenter une problématique d’ampleur pour les prochaines années, l’Agence appelle à une augmentation des investissements miniers, sous peine de ne pas pouvoir atteindre l’objectif de limiter le réchauffement à 1,5 degré d’ici la fin du siècle.