Comme prévu aux termes de la législation Suédoise, Porsche est obligé de lancer une OPA sur le constructeur des poids-lourds Scania. Et comme prévu, Porsche fait une offre minimale, n'ayant en fait aucune intention réelle de prendre un quelconque contrôle direct.
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Comme prévu aux termes de la législation Suédoise, Porsche est obligé de lancer une OPA sur le constructeur des poids-lourds Scania. Et comme prévu, Porsche fait une offre minimale, n'ayant en fait aucune intention réelle de prendre un quelconque contrôle direct.
Volkswagen étant actionnaire majoritaire de Scania, et Porsche étant lui-même passé au dessus du seuil de 50% du capital de Volkswagen en sa possession, la législation financière Suédoise exigeait de Porsche une offre sur le capital de Scania. Un fait similaire s'était déjà produit pour Audi.
Porsche confirme qu'il n'a aucun intérêt à racheter Scania, et fait donc l'offre minimale permise par la législation Suédoise, en proposant 68,52 couronnes pour les actions de type A, et 67,10 pour les actions de type B. Ces actions avaient respectivement clos la séance de vendredi à la bourse de Stockholm à 69,5 et 69 couronnes. Après avoir ouvert à la hausse, les actions de Scania étaient à la baisse dans l'après-midi, et ont terminé à +0.36% (69.75SK) pour les actions A et -0.36% (68.75SK) pour les B.
Porsche confirme que cette OPA n'aura aucun effet sur les activités du constructeur, sa direction ou ses effectifs, et aucun effet également sur son intégration au groupe Volkswagen.
Comme prévu aux termes de la législation Suédoise, Porsche est obligé de lancer une OPA sur le constructeur des poids-lourds Scania. Et comme prévu, Porsche fait une offre minimale, n'ayant en fait aucune intention réelle de prendre un quelconque contrôle direct.