Magna reprendra Opel
Le duel autour de la reprise d'Opel est terminé. Fiat, premier à annoncer haut et fort son intérêt s'est finalement retiré des négociations vendredi, et c'est finalement avec Magna qu'un accord a été trouvé cette nuit.
Le duel autour de la reprise d'Opel est terminé. Fiat, premier à annoncer haut et fort son intérêt s'est finalement retiré des négociations vendredi, et c'est finalement avec Magna qu'un accord a été trouvé cette nuit.
Le duel autour de la reprise d'Opel est terminé. Fiat, premier à annoncer haut et fort son intérêt s'est finalement retiré des négociations vendredi, et c'est finalement avec Magna qu'un accord a été trouvé cette nuit.
La dernière réunion, qui a duré plus de six heures, s'est achevé par un accord préliminaire concernant la reprise (partielle) d'Opel par Magna. Un accord durement négocié entre le gouvernement Allemand, les représentants d'Opel, de GM, de Magna et l'administration américaine. Angela Merkel s'était entretenue au préalable avec Barack Obama à ce sujet.
Aux termes de cet accord, il semble que Magna reprenne 20 % du capital, la banque Russe Sberbank 35%, tandis que GM en conserve 35% également. Les 10% restant seraient attribués aux salariés, les concessionnaires ayant vraisemblablement été exclus. Magna ne s'engage pas en aveugle et disposera de 4.5 milliards d'euros de garanties par Berlin, et ainsi que 1.5 milliards de financement relais pour la période de transition.
Quelques détails sont encore à régler avant la signature définitive, qui pourrait néanmoins intervenir d'ici à la fin du mois de Juin. Dès ce week-end, les Land de Hesse et de Rhénanie-Nord Westphalie, où sont implantées les usines allemandes de la marque, doivent entériner l'accord. L'accord ne donne pas pleinement satisfaction à Berlin, qui continue à le trouver risqué, mais toutefois préférable à une faillite d'Opel dans la foulée de celle de GM... Cela ne se fera d'ailleurs pas sans conséquence sur l'emploi, puisque environ 10% des 25.000 salariés d'Opel en Allemagne pourraient se retrouver sans emploi, mais aucun des 4 sites germaniques (Bochum, Eisenach, Kaiserslautern et Rüsselsheim) ne sera fermé. Aucun détail n'a été pour l'instant donné concernant les sites Belges d'Anvers et Britanniques d'Ellesmere Port...
Source : Reuters
Le duel autour de la reprise d'Opel est terminé. Fiat, premier à annoncer haut et fort son intérêt s'est finalement retiré des négociations vendredi, et c'est finalement avec Magna qu'un accord a été trouvé cette nuit.
Retrouvez tous les soirs une sélection d'articles dans votre boite mail.