Panthéon mécanique
De l’Alfa Romeo Alfetta 158 menée au triomphe par Giuseppe Farina en 1950 à la Ferrari SF90 de 2019, cet ouvrage écrit par Stéphane Cohen, producteur et journaliste passé par TF1 puis collaborateur de l’émission Direct Auto sur C8, propose un panthéon des monoplaces ayant marqué l’histoire du championnat du monde. Beaucoup d’entre elles sont des championnes du monde en puissance, comme la Mercedes-Benz W196 de Juan-Manuel Fangio, la Ferrari 312T de Niki Lauda ou la Ferrari F2004 archi-dominatrice de Michael Schumacher, mais d’autres ont droit au chapitre en raison de leur design unique, comme la Tyrrell P34 à 6 roues et la Ligier JS5 surmontée de sa fameuse prise d’air en forme de bonnet phrygien. D’autres sont aussi plébicitées pour leur avancée technologique, à l’image de la Lotus 78, pionnière de l’effet de sol, ou la Williams-Renault FW15C bardée d’électronique, le fameux « airbus roulant » pour reprendre les propos d’Alain Prost.
des voitures et des hommes
Les françaises ne sont pas oubliées bien sûr, comme la Matra MS80 titrée en 1969 avec Jackie Stewart et la Renault RS10 qui imposa le turbo à Dijon en 1979. D’autres choix peuvent paraître plus étonnants, comme les Ferrari 641 (1990) et SF90 (2019) qui, certes, ont acquis un palmarès. Si le choix de la 641 s’explique par sa symbolique – le crash de Suzuka en 1990, apogée du duel Prost-Senna, on notera un oubli de taille quand même, celui de la McLaren MP4/4 de 1988, la voiture ultra-dominatrice (15 victoires en 16 courses) qui inaugura le duel à couteaux tirés entre Magic et le Professeur. Mais comme l’explique l’auteur, le choix des voitures n’a pas été conditionné uniquement par leurs victoires mais aussi pour l’histoire qui a pu s’y rattacher, qu’il s’agisse d’un exploit, d’un fait de course ou même d’un drame.
Chaque monoplace est l’objet d’un article historique, accompagné d’une fiche technique, d’une synthèse du palmarès et d’une notice présentant un pilote emblématique rattaché à la voiture. L’occasion de passer en revue la plupart des champions du monde, mais aussi quelques figures marquantes au destin particulier comme Didier Pironi. Outre les photos d’archives, le livre présente aussi 30 illustrations inédites de profil dessinées par Dominique Donné.
- Date de parution : 10/03/2021
- Nombre de pages : 160
- Auteur : Stéphane Cohen
- Illustrateur : Archimède
- Format : 240X290 mm
- Nombre d’illustrations : 200
- Poids : 1152 g
Les amateurs de F1 apprécieront cet ouvrage publié aux éditions ETAI, au prix de 44 euros.
Images : ETAI
Ça existe encore les livres en 2021 ?
Autant je n’arrive pas à comprendre la place la SF90 et ce que l’auteur a voulu mettre en avant avec elle (la rivalité Vettel-Leclerc ? L’accord secret sur le GMP ?), car selon moi, elle n’a pas marqué grand chose et prend clairement la place de la MP4-4, autant la 641 peut mériter sa place, dans le sens où elle a amené en F1 la boîte robotisée. En plus du crash de Suzuka, elle a a son actif de victoires d’exception, celle en Hongrie avec Mansell, et celle de Prost au Mexique. Mais là on vient récompenser des pilotes plus que les autos. Bon, on peut supposer que l’auteur ne peut être impartial dans ce genre de choix, et il semble aimer la marque Italienne non ? ^^
HAAS VF-20 tans qua faire elle a sauver la vie a ROMAIS après tous
https://www.google.com/search?q=hesketh+308B-Ford+Cosworth&client=safari&rls=en&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwjwsK3FkcTvAhWEElkFHc-EAu8Q_AUoAXoECAEQAw&biw=1280&bih=711#imgrc=R2c1Mf0wKJOm9M
regarde la livrée de cette vieille formule 1,outre l’ordres des couleur il à une ressemblance et sa rend la livrée HAAS un peut mois pire du fait que comme ça la livrée HAAS ne sort mois de nulle part et a un petit je dis bien un petit coté historique