Flambée du pétrole : l’Opep pointe du doigt les politiques

L’Opep pointe du doigt le manque d’investissement dans le secteur du pétrole et du gaz

Un manque d’investissement dans le secteur du pétrole et du gaz à la suite d’une chute des prix provoquée par le COVID-19 a considérablement réduit la capacité de production inutilisée de l’OPEP et limité la capacité du groupe à réagir rapidement à de nouvelles perturbations potentielles de l’approvisionnement selon son nouveau dirigeant.

Le cartel pétrolier existe pour garantir que le monde obtienne suffisamment de pétrole, mais « ce sera très difficile s’il n’y a pas d’adhésion à l’importance de l’investissement », a-t-il déclaré, ajoutant qu’il espère que « les investisseurs, les institutions financières, les décideurs prennent cette question au sérieux et les intègrent dans leurs plans pour l’avenir. »

Flambée du prix du Brent suite à l’invasion de l’Ukraine par la Russie

Le prix du Brent a frôlé le niveau record de 147 dollars le baril en mars, après que l’invasion de l’Ukraine par la Russie a provoqué de sévères problèmes d’approvisionnement. Bien que les prix aient baissé depuis, ils demeurent fortement élevés pour le portefeuille des consommateurs et les finances des entreprises du monde entier.

Décideurs et législateurs : les grands fautifs selon l’Opep

« Ne blâmez pas l’OPEP, blâmez vos propres décideurs et législateurs, parce que l’OPEP et les pays producteurs ont fait pression à maintes reprises pour investir dans le pétrole (et le gaz) », a déclaré Al Ghais, qui a pris ses fonctions le 1er août.

Les investissements bien en deçà des niveaux de 2019

Les investissements dans le pétrole et le gaz ont augmenté de 10 % par rapport à l’année dernière, mais restent bien en deçà des niveaux de 2019, a déclaré l’Agence internationale de l’énergie le mois dernier, ajoutant que la réduction en volume des exportations russes devait être comblée par une production émanant d’autres pays producteurs.

Manque d’investissements dans le raffinage

Le responsable de l’OPEP a également pointé du doigt le manque d’investissements dans le secteur en aval, ajoutant que les membres de l’OPEP avaient augmenté leur capacité de raffinage pour compenser le déclin de ce secteur en Europe et aux États-Unis.

Effectivement, les énormes marges de raffinage actuellement pratiquées expliquent également la flambée des prix à la pompe. Des marges qui peuvent être pratiquées par manque de capacités.

Sources : OPEP, Reuters

 

(18 commentaires)

  1. Le manque d’investissements dans le secteur pétrolier, j’ai l’impression que l’on en parle depuis plus de 10 ans en bourse !?

  2. On investit moins mais ça rapporte davantage à tout le monde. Il n’y a qu’à la station service qu’on paie plus cher. 😉

  3. Niveau national, on avait déjà eu l’épisode que j’avais qualifié « d’éducation canine brutale » de Macron mis le nez dans son caca par Total/Engie/EDF juste avant l’été… Là on a confirmation plus globale.
    Mais nous, on est encore plus fort puisque Macron avait fait passer une loi le 24/12/2017 (jour de Noël, merci du cadeau!) afin d’interdire l’exploitation passé 2040 des installations d’extraction pétro-gazières sur le territoire national.
    En conséquence de quoi Total a plié ses gaules de Guyane disant être déçu des forages autrefois jugés prometteurs pour aller au Suriname voisin ou à chaque coup de perceuse dans le plancher océanique cela a été banco.
    Le problème, c’est qu’investir maintenant sur notre territoire avec une exploitation limitée dans le temps devient injustifiable. Malin, avec le seconde ZEE au monde: Nul doute que d’autres se chargeront d’exploiter ce que faute de moyens, nous ne pourrons en prime plus défendre.
    Merci encore au petit banquier à courte vue, le propre du genre…

  4. L’OPEP a tout a fait raison et particulièrement le gouvernement français avec ces taxes (Il faut dire qu’il n’a pas d’autre choix que de taxer vue qu’il ne fait aucune économie et mène grand train de vie) et l’Europe.

  5. Poutine frappe les mains et frappe des pieds de manière efficace.
    Contre des ennemis qui n’avaient qu’un tort.
    Un seul. Mais un gros. Celui de croire leur propre mensonge.
    Depuis le début des années 1970, les PIB des occidentaux sont devenus farfelus. A vue de nez, 20 % de « services bancaires », 30 % de loyers, 30 % de commerce de gros et de détails, et pour le reste, la production à peine 20 %. On a déchainé la spéculation, avec des prêts bancaires croissants (à une époque, les banques fuyaient l’immobilier), les usines devenaient des lofts tendances pour bobos branchés.
    Les services bancaires et d’assurance, c’est le « signe monétaire ». Cela ne veut rien dire. N’importe quel banquier peut créer des milliards.
    En Face, une Russie, avec un pib « espagnol ». Mais l’avantage, c’est que c’est que du réel. Vous savez, des trucs et des bidules qu’on fabrique, en plus en état d’autarcie ou de quasi autarcie, suivant en cela la politique stalinienne, qui avait bien vu, après guerre, le piège tendu par l’endettement en dollars.
    En d’autres termes, l’économie physique russe, c’est l’équivalent de l’économie physique des USA, ou plutôt ce qu’il en reste, avec une population double pour les USA.
    Il est loin le temps où l’économie du bloc socialiste, Chine comprise, c’était 20 % du total mondial, 70 % étant l’occident, les 10 % le reste.
    Aujourd’hui, l’industrie chinoise, c’est 50 % du total, la Russie 10 %, « l’Europe », 10 % aussi, les USA 10 %. Il n’y a plus de domination, et en matière militaire, c’est pire.
    Des armes à l’état d’échantillons, mais bien trop chères, et plus d’usines pour en produire, autrement qu’en quantités échantillonnesques elles aussi.
    Outrecuidance des occidentaux, qui voulaient abattre l’économie russe en quelques semaines, à l’aide de sanctions pré-établies. Ils n’avaient pas réussi à abattre ni le Yemen, ni la Syrie, ni l’Iran.

  6. Poutine frappe les mains et frappe des pieds de manière efficace.
    Contre des ennemis qui n’avaient qu’un tort.
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    Depuis le début des années 1970, les PIB des occidentaux sont devenus farfelus. A vue de nez, 20 % de « services bancaires », 30 % de loyers, 30 % de commerce de gros et de détails, et pour le reste, la production à peine 20 %. On a déchainé la spéculation, avec des prêts bancaires croissants (à une époque, les banques fuyaient l’immobilier), les usines devenaient des lofts tendances pour bobos branchés.
    Les services bancaires et d’assurance, c’est le « signe monétaire ». Cela ne veut rien dire. N’importe quel banquier peut créer des milliards.
    En Face, une Russie, avec un pib « espagnol ». Mais l’avantage, c’est que c’est que du réel. Vous savez, des trucs et des bidules qu’on fabrique, en plus en état d’autarcie ou de quasi autarcie, suivant en cela la politique stalinienne, qui avait bien vu, après guerre, le piège tendu par l’endettement en dollars.
    En d’autres termes, l’économie physique russe, c’est l’équivalent de l’économie physique des USA, ou plutôt ce qu’il en reste, avec une population double pour les USA.
    Il est loin le temps où l’économie du bloc socialiste, Chine comprise, c’était 20 % du total mondial, 70 % étant l’occident, les 10 % le reste.
    Aujourd’hui, l’industrie chinoise, c’est 50 % du total, la Russie 10 %, « l’Europe », 10 % aussi, les USA 10 %. Il n’y a plus de domination, et en matière militaire, c’est pire.
    Des armes à l’état d’échantillons, mais bien trop chères, et plus d’usines pour en produire, autrement qu’en quantités échantillonnesques elles aussi.
    Outrecuidance des occidentaux, qui voulaient abattre l’économie russe en quelques semaines, à l’aide de sanctions pré-établies. Ils n’avaient pas réussi à abattre ni le Yemen, ni la Syrie, ni l’Iran.

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    Il est loin le temps où l’économie du bloc socialiste, Chine comprise, c’était 20 % du total mondial, 70 % étant l’occident, les 10 % le reste.
    Aujourd’hui, l’industrie chinoise, c’est 50 % du total, la Russie 10 %, « l’Europe », 10 % aussi, les USA 10 %. Il n’y a plus de domination, et en matière militaire, c’est pire.
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  9. Poutine frappe les mains et frappe des pieds de manière efficace.
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  10. Poutine frappe les mains et frappe des pieds de manière efficace.
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    Des armes à l’état d’échantillons, mais bien trop chères, et plus d’usines pour en produire, autrement qu’en quantités échantillonnesques elles aussi.
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  13. Poutine frappe les mains et frappe des pieds de manière efficace.
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    En d’autres termes, l’économie physique russe, c’est l’équivalent de l’économie physique des USA, ou plutôt ce qu’il en reste, avec une population double pour les USA.
    Il est loin le temps où l’économie du bloc socialiste, Chine comprise, c’était 20 % du total mondial, 70 % étant l’occident, les 10 % le reste.
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    Des armes à l’état d’échantillons, mais bien trop chères, et plus d’usines pour en produire, autrement qu’en quantités échantillonnesques elles aussi.
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  14. Poutine frappe les mains et frappe des pieds de manière efficace.
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  15. Poutine frappe les mains et frappe des pieds de manière efficace.
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    Il est loin le temps où l’économie du bloc socialiste, Chine comprise, c’était 20 % du total mondial, 70 % étant l’occident, les 10 % le reste.
    Aujourd’hui, l’industrie chinoise, c’est 50 % du total, la Russie 10 %, « l’Europe », 10 % aussi, les USA 10 %. Il n’y a plus de domination, et en matière militaire, c’est pire.
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  16. Poutine frappe les mains et frappe des pieds de manière efficace.
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    Des armes à l’état d’échantillons, mais bien trop chères, et plus d’usines pour en produire, autrement qu’en quantités échantillonnesques elles aussi.
    Outrecuidance des occidentaux, qui voulaient abattre l’économie russe en quelques semaines, à l’aide de sanctions pré-établies. Ils n’avaient pas réussi à abattre ni le Yemen, ni la Syrie, ni l’Iran.

  17. Poutine frappe les mains et frappe des pieds de manière efficace.
    Contre des ennemis qui n’avaient qu’un tort.
    Un seul. Mais un gros. Celui de croire leur propre mensonge.
    Depuis le début des années 1970, les PIB des occidentaux sont devenus farfelus. A vue de nez, 20 % de « services bancaires », 30 % de loyers, 30 % de commerce de gros et de détails, et pour le reste, la production à peine 20 %. On a déchainé la spéculation, avec des prêts bancaires croissants (à une époque, les banques fuyaient l’immobilier), les usines devenaient des lofts tendances pour bobos branchés.
    Les services bancaires et d’assurance, c’est le « signe monétaire ». Cela ne veut rien dire. N’importe quel banquier peut créer des milliards.
    En Face, une Russie, avec un pib « espagnol ». Mais l’avantage, c’est que c’est que du réel. Vous savez, des trucs et des bidules qu’on fabrique, en plus en état d’autarcie ou de quasi autarcie, suivant en cela la politique stalinienne, qui avait bien vu, après guerre, le piège tendu par l’endettement en dollars.
    En d’autres termes, l’économie physique russe, c’est l’équivalent de l’économie physique des USA, ou plutôt ce qu’il en reste, avec une population double pour les USA.
    Il est loin le temps où l’économie du bloc socialiste, Chine comprise, c’était 20 % du total mondial, 70 % étant l’occident, les 10 % le reste.
    Aujourd’hui, l’industrie chinoise, c’est 50 % du total, la Russie 10 %, « l’Europe », 10 % aussi, les USA 10 %. Il n’y a plus de domination, et en matière militaire, c’est pire.
    Des armes à l’état d’échantillons, mais bien trop chères, et plus d’usines pour en produire, autrement qu’en quantités échantillonnesques elles aussi.
    Outrecuidance des occidentaux, qui voulaient abattre l’économie russe en quelques semaines, à l’aide de sanctions pré-établies. Ils n’avaient pas réussi à abattre ni le Yemen, ni la Syrie, ni l’Iran.

  18. Poutine frappe les mains et frappe des pieds de manière efficace.
    Contre des ennemis qui n’avaient qu’un tort.
    Un seul. Mais un gros. Celui de croire leur propre mensonge.
    Depuis le début des années 1970, les PIB des occidentaux sont devenus farfelus. A vue de nez, 20 % de « services bancaires », 30 % de loyers, 30 % de commerce de gros et de détails, et pour le reste, la production à peine 20 %. On a déchainé la spéculation, avec des prêts bancaires croissants (à une époque, les banques fuyaient l’immobilier), les usines devenaient des lofts tendances pour bobos branchés.
    Les services bancaires et d’assurance, c’est le « signe monétaire ». Cela ne veut rien dire. N’importe quel banquier peut créer des milliards.
    En Face, une Russie, avec un pib « espagnol ». Mais l’avantage, c’est que c’est que du réel. Vous savez, des trucs et des bidules qu’on fabrique, en plus en état d’autarcie ou de quasi autarcie, suivant en cela la politique stalinienne, qui avait bien vu, après guerre, le piège tendu par l’endettement en dollars.
    En d’autres termes, l’économie physique russe, c’est l’équivalent de l’économie physique des USA, ou plutôt ce qu’il en reste, avec une population double pour les USA.
    Il est loin le temps où l’économie du bloc socialiste, Chine comprise, c’était 20 % du total mondial, 70 % étant l’occident, les 10 % le reste.
    Aujourd’hui, l’industrie chinoise, c’est 50 % du total, la Russie 10 %, « l’Europe », 10 % aussi, les USA 10 %. Il n’y a plus de domination, et en matière militaire, c’est pire.
    Des armes à l’état d’échantillons, mais bien trop chères, et plus d’usines pour en produire, autrement qu’en quantités échantillonnesques elles aussi.
    Outrecuidance des occidentaux, qui voulaient abattre l’économie russe en quelques semaines, à l’aide de sanctions pré-établies. Ils n’avaient pas réussi à abattre ni le Yemen, ni la Syrie, ni l’Iran.

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