Le constructeur suédois a récemment engagé huit experts de l’odorat. Leur mission un tantinet particulière ? Définir « le parfum d’une Volvo neuve ». Ces experts dotés d’un sens olfactif partialement normal devront venir en aide aux designers pour choisir les matériaux qui composeront l’habitacle des véhicules en tenant compte de leur senteur. Une étude aussi logique que le nez au milieu de la figure…
L’argent n’a pas d’odeur dit-on. Une Volvo, comme tout véhicule neuf, si. C’est cette odeur particulière que huit nez devront s’efforcer de déterminer en flairant divers composants de l’habitacle. Ils évalueront puis noteront ces odeurs sur une échelle de 1 à 6. 1 pour « à peine perceptible »» et 6 carrément « intolérable ». Volvo a fixé l’acceptable à 3. Juste moyenne.
« Nous imposons des exigences sévères à nous-mêmes et à nos fournisseurs », explique Patrik Libander, ingénieur chez Volvo et responsable de l’équipe nouvellement formée. Il conclut soulignant que « voyager en voiture devrait être agréable pour tous les sens, incluant l’odorat. » Reste à espérer que ce panel d’experts ès senteurs n’infligent pas trop de six aux berlines suédoises…
Ci-dessous, une partie des nez en action ! Alors, l’odeur du volant ? 1, 2, 3, 4, 5 ou 6 ?
Source et crédit photo : Volvo.