Si le Groupe Renault est en passe de réaliser un grand coup industriel en parvenant à construire des voitures de la gamme Entry à coût très bas à seulement vingt kilomètres de l’Europe, les critiques sont légion en France.
Mais Carlos Ghosn croit en son modèle : « Les discussions sont en cours avec l’Algérie. Nous sommes extrêmement intéressés, mais pour l’instant il n’y a pas d’aboutissement », a souligné le PDG de Renault lors de l’inauguration de l’antenne de Tanger. « Notre filiale est leader en Algérie. Par conséquent, si le gouvernement algérien souhaite l’édification d’une usine en Algérie, nous préférons que ce soit une Renault. »
Car l’Algérie, ne parvenant pas à convaincre rapidement la direction de Renault (les premières discussions datent de plusieurs années), a fait un appel du pied à Volkswagen.
Dans le cas de l’édification d’une usine sur le territoire algérien, elle appartiendrait à 51% à l’état et à 49% au constructeur.
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Source : Liberté
Photo : Renault