GM avait ainsi eu l’idée de le charger dans le sens de la hauteur sur les trains. Ce qui est possible aux Etats-Unis, où la plupart des lignes ne sont pas électrifiées.
En tant que logisticien, je ne vois pas trop l’intérêt, car cela réclame une grosse manutention. Et en cas de choc, c’est le toit qui prend, avec des risques de dommages irrémédiables pour la structure. Notez enfin l’absence de protection: les voitures sont chargées telles quelles!
De toute façon, la Vega n’a pas fait d’étincelles. Comme la Ford Pinto ou l’AMC Pacer, ce fut un bide. La faute à un gros moteur poussif (en plus, c’est une propulsion) et à une finition déplorable.
En 1974, suite à la crise du pétrole, les ventes s’envolèrent à 400 000 unités. Mais le soufflé est retombé aussi vite et en 1977, c’est sur la pointe des pieds qu’elle laissa place à la Monza.
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