Contrairement à Bernard Rey, qui avant de prendre les rênes de la F1 chez Renault avait eu une première expérience à la tête du sport auto chez Nissan, Jean-Michel Jalinier arrive du « civil », ayant passé deux ans à la tête de Renault Mercosur après six ans à présider aux destinées de Renault en Russie. Gad’zart et INP Grenoble de formation avant d’obtenir un MBA à l’INSEAD au début de sa carrière chez Renault où il est entré en 1985, son passé d’ingénieur de haut vol sera un atout supplémentaire pour naviguer entre les enjeux hautement technologiques de son nouveau milieu.
Il aura a gérer la fourniture moteur à une quatrième écurie, et non des moindres, Williams dès 2012 tout en approfondissant la collaboration technique avec Red Bull Racing et Nissan/Infiniti, et son chantier majeur à moyen terme sera de réussir la transition au V6 turbo en 2014.
Source : Renault