Il faudra avoir un il avisé pour distinguer la nouvelle Yaris de l’ancienne, en particulier à l’extérieur. Quelques menus changements aux boucliers ou aux feux arrière, qui intègrent désormais des LEDs disposées en cercle.
A l’intérieur, la chose sera plus aisée, car le changement d’instrumentation saute aux yeux. La très originale instrumentation holographique disparaît purement et simplement, et la Yaris adopte l’instrumentation à compteurs classiques déjà en usage au Japon ou aux Etats-Unis. La totalité de la façade centrale est en fait redessinée (aérateurs, commandes de climatisation, systèmes audio) et l’on notera l’arrivée d’un système de navigation avec grand écran tactile, avec téléphonie mains libres Bluetooth et commande vocale.
Sur le chapitre des motorisations, la Yaris conserve son tricylindre 1.0 69 ch en entrée de gamme, mais se voit dotée comme seconde motorisation essence du nouveau 1.3 développant 103 ch, qui devrait remplacer avantageusement l’ancien 1.3 de 87 ch. D’autant que sa consommation est annoncée à seulement 5.1 l/100 km, soit un gain de près d’un litre (0.9 l). Ce moteur, dont l’Auris a eu la primeur, reçoit en série une boîte manuelle à 6 rapports et pourra être associé la boîte robotisée MM-T. Le diesel 1.4 de 90 ch a lui aussi droit à cette transmission. Malgré une puissance inchangée, il affiche un gain de consommation de 0.4 l/100 km.
Source : Toyota via k77.com
